Voilà ce qui promet un cocktail détonnant à Camelot. Dès lors, le sublime côtoie la laideur. : 2726 abonnés Idris Elba était pressenti pour jouer dans le film, dans la peau d'un personnage inspiré de Bédivère, qui est le mentor d’Arthur et ses chevaliers. Guy Ritchie n’y innove certes rien, mais il sait conférer une forme suffisamment efficace à cette relecture nullement révérencieuse du mythe du roi Arthur et de ses chevaliers de la table ronde pour en faire un divertissement de haut vol ! Le mec incarne un Arthur semblant sortir d’un film de Guy Ritchie de la bonne vieille époque. ». Données Personnelles | Après Sherlock Holmes, le british Guy Ritchie s’attaque à une autre figure emblématique du pays de Sa Majesté. Curieusement, le lien le plus direct que ce film-ci entretient avec les œuvres précédentes de Guy Ritchie est avec la comédie de gangsters Snatch Tu braques ou tu raques. Il était âgé de 84 ans. Il n'y a pas grand chose à sauver la faute à un scénario brouillon et une direction artistique absolument atroce. 3 abonnés Voilà pour le pitch global. L'acteur a en plus travailler physiquement pour les séquences de combats. Elle incarne finalement un personnage nommé la Mage, davantage inspiré de la Fée Morgane. Hallucinant de bêtise. Le roi Arthur : La légende d'excalibur - Donnez votre critiques, lire les critiques/avis des visiteurs sur Le roi Arthur : La légende d'excalibur avec Charlie Hunnam, Aidan Gillen, Djimon Hounsou, Astrid Bergès-Frisbey, Jude Law, Eric Bana Autant je l'apprécie pour Sherlock et les Agents très spéciaux, le style s'y prêtant bien, autant ici c'est beaucoup moins approprié et ça devient lassant. Tant de thèmes qui rendent ce mythe fascinant. Après Sherlock Holmes (2009), Sherlock Holmes: jeu d'ombres (2011) et "Agents très spéciaux: code UNCLE" (2015), le réalisateur s'attaque donc à un projet des plus ambitieux ! Mais étant donné que le format Blu-ray 4K Ultra-HD aura probablement laissé sa place à d’autres supports techniquement encore plus avancés d’ici les quarante ans du film, Warner bros a pris le parti de fêter l’anniversaire de Beetlejuice avec un peu d’avance, et surtout avec une édition coffret luxe de grande classe. Lire ses 1 153 critiques, Suivre son activité Qu’il n’y ait pas de malentendu macabre, nous souhaitons encore de longues années prospères au réalisateur, qui n’a même pas cinquante ans. Aussi étonnant que cela puisse paraitre aujourd’hui, L’inexorable enquête est un film qui s’est trimballé une mauvaise réputation pendant de nombreuses années, pour deux raisons qui, aujourd’hui, paraitront probablement un peu tirées par les cheveux. Le reste du casting est davantage anecdotique. L'attente était là. Le 10 mars 2015, Guy Richie poste sur son compte Twitter une photographie du premier jour de tournage[16]. Vortigern, le frère d'Uther Pendragon réalisant un coup d'état par jalousie de la couronne de son frère, le fils exilé qui grandi en toute ignorance de ses origines et qui va lutter contre son oncle pour reprendre le trône...un copié collé d'Hamlet et du Roi Lion tellement plat et explicite que ça en devient grotesque. Sociétés de production : Safehouse Pictures. Un travail remarquable. Par contre, là, je vois mal comment la Chine peut sauver un film consacré au détenteur d’Excalibur. Les flash-back avec son père sont chargés émotionnellement. J'espère qu'il marchera au box-office car en cas de succès, cinq autres films sont prévus et si ils sont aussi bons que celui-ci et si c'est toujours Guy Ritchie à la barre, on peut s'attendre à avoir une belle saga cinématographique qui aurait une sacrée gueule. Jean Serroy du Dauphiné libéré décrit le film comme une version de « La légende arthurienne à l’épreuve du clip vidéo : violence, rythme effréné, effets spectaculaires, et pas le temps de penser, on n’est pas venu pour ça ! Réalisateur : Guy Ritchie CGU | Votre avis sur Le Roi Arthur: La Légende d'Excalibur ? Il n'en demeure pas moins réellement très agréable à suivre. Pendant que le nouveau roi Vortigern œuvre sans cesse à la construction d’une tour, qui lui assurera l’invincibilité grâce à ses pouvoirs magiques, le lac qui entoure sa bâtisse se vide de son eau et découvre l’épée légendaire d’Excalibur, que seul le roi-né pourra sortir de la roche. 154. Par contre, j’ai beaucoup aimé Charlie Hunnam dans le rôle principal. Une légende réinventée, un rythme époustouflant et un roi Arthur emblématique !! C'était sans compter sur Guy Ritchie qui décide de remettre ça pour Hollywood ! Or, en me fiant aux BA ou aux posters que j’ai vus, cet aspect n’était que très peu mis en avant. On attend une histoire, et ce n'est clairement pas le point fort du réalisateur. Et quand on songe aux décors grandioses, ils sont à la hauteur du reste, c'est à dire recherchés,travaillés et éblouissants d'autant plus que la qualité des effets très spéciaux les rendraient eux aussi presque vivants ! Et il n'y a pas grand chose à dire sur le reste du cast, qui rempli son office sans coup d'éclats. Dès lors mis au défi par le pouvoir du glaive, Arthur est contraint de faire des choix sans retour en arrière possible. L'histoire nous entraîne à Londres, Arthur, jeune garçon costaud, vit dans les quartiers pauvres de la ville. Vous avez entré une adresse email incorrecte! Quand j'ai découvert la première bande annonce de "King Arthur : Legend of The Sword" il y a 9 mois, je fut immédiatement intrigué. Dès janvier 2014, Warner Bros. annonce son intention de créer une franchise de six films[6]. Je le rappelle, il en a coûté 175. Distribution : Warner Bros. Il explique avoir passé de longues heures à observer Conor McGregor, pratiquant professionnel de MMA irlandais, pour s'approprier ses techniques[9]. Un divertissement pop-corn assumé à la plastique superbe en mode plaisir régressif qui assure un spectacle de qualité tout du long. De plus, Guy Ritchie a aussi quelques tics agaçants qu'il ne peut pas s'empêcher de recycler de film en film comme, par exemple, ces mini-flashforwards dont il se sert de liant pour souvent passer d'une scène à l'autre. 7 abonnés ", "Cartel",...) est excellente. Bon, le film part absolument dans tous les sens en étant ultra-séquencé en différents morceaux de bravoure qui donnent l'impression de passer du coq à l'âne sans que cela ne gêne personne : on peut ainsi partir d'une gigantesque bataille d'heroïc-fantasy à la "Seigneur des Anneaux" pour se retrouver plus tard dans une séquence où le futur roi Arthur fait une psychothérapie en massacrant gratuitement des animaux géants et bifurquer ensuite dans la préparation d'un casse typiquement "ritchien" (enfin, sous couvert d'un guet-apens contre le méchant roi), le tout en exacerbant toujours la haine entre Arthur et sa nemesis comme fil rouge afin de donner du corps à l'affrontement final qui en découlera. Critique-film est le site de tous les passionnés de cinéma et de séries TV. Même si Kaamelott ne le faisait pas non plus. Le récit part dans tous les sens, multiplie les dérapages incontrôlés et devient une série B d’heroic fantasy assumée, très influencée par Le Seigneur des anneaux ». . Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb. Par Christophe Menat content d’avoir fait un tour dans la mythologie arthurienne, même si ce n’est que pour une fois, le17 mai 2017. Epileptique est le qualificatif qui s'y prête le mieux. Film mythique, sur lequel les années qui passent ne semblent avoir absolument aucune emprise, Beetlejuice fêtera cette année ses 32 ans. Quand on évoque Plus dure sera la chute, on parle souvent –à raison bien sûr– du « dernier film d’Humphrey Bogart », mais ce que l’on oublie malheureusement le plus régulièrement de souligner, c’est bel et bien la qualité du film de Mark Robson, qui s’avère un véritable petit chef d’œuvre dans son genre. Dans Le Journal du dimanche, Stéphanie Belpêche écrit « On ne s’ennuie pas un instant grâce à des acteurs impliqués. Il est là le problème, il n'y a pas de cinéma là-dedans, du clip, de la pub, une bande-annonce, pourquoi pas ? Guy Ritchie est loin d'être le type le plus subtile du monde, mais là... Il n'arrête pas pendant deux heures, que ça soit les effets de ralentis accélérés, le montage alterné entre différentes "époques", les scènes dégueulasses bourrées de numérique qui sont censées être "cool", ben ça devient juste insupportable. Genre : Fantastique Et Guy Ritchie nous sert une fois encore à tour de bras son style de montage dynamique pour la narration et les flash-back. Le tout est naturellement proposé en Haute Définition et dispose de sous-titres français. De quoi au fond aborder cette version libérée et atypique du Roi Arthur à la fameuse épée, sans trop d'hésitation, puisqu'un fameux et talentueux cinéaste est aux commandes en dirigeant avec maestria cette nouvelle réalisation ! L'acteur a suivi un entraînement très rigoureux avec notamment 500 pompes quotidiennes, de la boxe et du combat à l'épée. ». Proposer une réinterprétation résolument rock'n'roll et moderne de la légende du Roi Arthur, qui satisfera les amateurs du style de Guy Ritchie. Après un excellent "Agents très spéciaux..." drôle et enlevé, le cinéaste opère un changement de cap pour faire revivre le mythe du Roi Arthur, à sa sauce et autant dire que celle-ci a du goût et de l'esprit ! De plus, le film enregistre des recettes bien en dessous de prévisions déjà médiocres, qui tablaient sur un premier week-end entre 20 et 25 millions. C'est mauvais mais alors vraiment mauvais ! 120 abonnés La version française doit en revanche se contenter d’un « simple » mais spectaculaire mixage Dolby Digital 5.1, qui se défend bien mais ne tient forcément pas la comparaison avec son ainée. Sans l'attendre démesurément, j'étais curieux de découvrir ce que donnerais le style de narration épileptique du britannique dans ce registre. Le récit part dans tous les sens, multiplie les dérapages incontrôlés et devient une, « On pourra lui reprocher son penchant pour les effets de style et une débauche parfois indigeste d’effets spéciaux, mais, « montage épileptique de plans noyés dans les effets numériques », « Charlie Hunnam est le seul à tirer son épée du jeu », « le premier problème du film de Ritchie n’est pas la vision qu’il propose de ce mythe séminal, mais bien son absence de vision », « le cinéaste londonien tente un collage entre comédie d’action et, « L'ex-mari de Madonna a une idée de génie : dans cette nouvelle version de, « la surenchère d'effets spéciaux et sonore abrutit, au point de plonger l'auditoire dans une inéluctable léthargie », Liste d'œuvres concernant le cycle arthurien, Centre national du cinéma et de l'image animée, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Le_Roi_Arthur_:_La_Légende_d%27Excalibur&oldid=175046112, Identifiant Allociné titre identique sur Wikidata, Article avec une section vide ou incomplète, Page utilisant une présentation en colonnes avec un nombre fixe de colonnes, Page pointant vers des bases relatives à l'audiovisuel, Portail:Légende arthurienne/Articles liés, Portail:Fantasy et fantastique/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Rejoignant la Résistance et une mystérieuse jeune femme du nom de Guenièvre, il doit apprendre à maîtriser l’épée, à surmonter ses démons intérieurs et à unir le peuple pour vaincre le tyran Vortigern, qui a dérobé sa couronne et assassiné ses parents – et, enfin, accéder au trône…, « Quand l’heure des bilans viendra, que retiendra-t-on du cinéma de Guy Ritchie ? Tout est creux jusqu'à la dernière minute. Lire ses 1 444 critiques, Suivre son activité Titre original : King Arthur – Legend of the sword © Copyright 2020 Critique-film.fr | Tous droits réservés. T'es un génie, Guy ! Test Blu-ray : Le roi Arthur – La légende d’Excalibur, https://dogs-in-movies-database.tumblr.com/. Attention, cet avis contient des spoilers tels que: Le film est neveux, le seul défaut que l'on peut y trouver c'est que cela va trop vite. Alors, après avoir modernisé les aventures du plus célèbre détective privé britannique, Ritchie s'attaque à un autre mythe emblématique de la culture littéraire anglophone et mondial...et pas des moindres, en offrant sa relecture personnelle hollywoodienne du Roi Arthur ! C'est rigolo, ça ! 136 abonnés Et en 2017, c'est au tour du réalisateur anglais Guy Ritchie de proposer sa vision du mythe. Nous ne sommes de loin pas assez fans de l’univers créé au fil des films par Guy Ritchie pour le considérer comme un visionnaire. Extrait de la critique de notre chroniqueur Tobias Dunschen. En France, le film obtient une note moyenne de 2,7⁄5 pour 15 titres de presse[23]. Twitter. S'il vous plaît entrez votre commentaire! Ce qui serait une publicité à peine mensongère. Guy Ritchie n’y innove certes rien, mais il sait conférer une forme suffisamment efficace à cette relecture nullement révérencieuse du mythe du roi Arthur et de ses chevaliers de la table ronde pour en faire un divertissement de haut vol ! C'est bien trop syncopé, haché, malaxé, et donc à la finale indigeste. Doté d'un casting rafraîchissant pour ce type de production (mentions spéciales à Jude Law qui s'éclate dans le registre de la cruauté et à Àstrid Bergès-Frisbey en mage charismatique), "Le Roi Arthur" est un de ces rares blockbusters à remplir toutes les clauses de son contrat tacite passé avec le spectateur avant de le découvrir et, notamment, la première d'entre elles : en prendre plein les yeux devant un divertissement épique qui n'appelle pas une forte utilisation de nos neurones. "Autonomes" est un film qui, en montrant des expériences de vie alternatives, permet aux spectateurs de réfléchir non seulement sur leur propre existence mais aussi sur le type d'organisation de la société qui leur parait la plus souhaitable. Retrouvez ici toutes les critiques, actualités et événements autour de votre univers préféré. De l’autre côté, Jude Law est étonnamment bon. Violons et violoncelles caracolent à fond, et se collent à des images syncopées qui dégagent ainsi une modernité franchement étonnante, décalée sans doute mais archi séduisante à l'œil et à l'oreille c'est sûr ! Jean-Paul Rouve, Djibril Vancoppenolle, Dayla De Medina, Avec Pour ma part, elles sont au nombre de deux. Il était âgé de 84 ans. "Arnaques, Crimes et botanique", "Snatch", "Revolver", "RockNRolla", les deux films "Sherlock Holmes" avec Robert Downey Jr et Jude Law, "Agents très spéciaux - Code U.N.C.L.E.". En voyant cette nouvelle itération des aventures du Roi Arthur j'ai l'impression d'avoir vu une bande annonce de deux heures. Jeune homme futé, Arthur mène sa bande et fait régner l’ordre sur les faubourgs de Londonium. Un vrai délire frénétique et frais. À l'issue de son premier week-end d'exploitation, il n'engrange que 14,7 millions de dollars, bien loin des 175 millions de dollars de budget et des frais marketing estimés à environ 80 millions. C’est bien pour ça que j’ai facilement oublié la laideur de certains passages alors qu’elle m’avait rebuté dans Warcraft: Le Commencement. L'histoire, on la connaît ! Elle est sensée être l'épouse d'Arthur qui la rencontre après être devenu roi de Kaamelot. Guy Ritchie est un cinéaste que j'apprécie beaucoup surtout pour son Sherlock Holmes (2009). Ce dernier est recueilli à Londres par des prostituées, dont il devient au fil du temps le protecteur, respecté dans tout son quartier. 12 abonnés Qui sommes-nous | Il manque un fond sur les personnages. Car Guy Richtie n'y va pas de main morte en pimentant nerveusement sa mise en scène de trouvailles originales et plaisantes, à commencer par un rythme fou dont la musique qui oscille entre rock et genre celtique, accompagne le moindre combat avec style et entrain jusqu'à couper le souffle, et même du héros lui-même, c'est dire ! ), (Guy Ritchie était à Serpentard ou quoi ?! Effets spéciaux, entrainements, tournage des séquences d’action, décors… Tout semble passé au crible en environ une heure de bonus globalement très intéressants, même si on aurait aimé s’attarder un poil plus sur le rapport au film à la « légende » du roi Arthur. 50 abonnés La mise en scène de Ritchie est nerveuse tout comme le montage du film qui est speed mais toujours lisible, la musique est au top à la fois dynamique et entraînante et les effets spéciaux sont de bonne facture tout comme la 3-D. De plus, certains effets de style s'accordent parfaitement au film (comme les ralentis ou les scènes de combat avec Excalibur) et, en plus de Charlie Hunnam, j'ai trouvé le reste du casting plutôt bon en particulier Jude Law qui campe un parfait méchant à la fois sadique et sans cœur. Ce qui ne l’empêche pas de promouvoir une masculinité tout à fait archaïque, faite de muscles et de cris de guerre dont les représentants les plus frappants sont Charlie Hunnam – sensiblement moins subtil ici que dans le poétique The Lost City of Z – et Djimon Hounsou, qui a enfin droit après tant d’années d’emplois minimes à un rôle un peu plus substantiel, ainsi que dans un rôle plus anecdotique Tom Wu. États-Unis : 2017 Dans Marianne, on peut notamment lire « il faut voir ce film comme on regarde un rêve de gosse, enflé, certes, mais jouissif (...) les historiens s'arracheront les cheveux, les littéraires auront mal, mais nous, on adore ! Si j’annonce « avec surprise », c’est que les bandes-annonces que j’avais vues ne le laissaient pas présager. Jude Law joue un Roi Vortigern qui s'avère être est un antagoniste des plus intéressant pour Arthur. Quel destin attend Arthur ? Une certaine impression de rush/d'empressement à dérouler l'histoire et ses enjeux (due en grande partie au montage accéléré de Ritchie) subsiste lorsqu'on y réfléchi un peu. Jeux concours | En tout cas, on peut déjà se poser la question de savoir si Charlie Hunnam n’est pas un acteur maudit. Ennuyeux, laid visuellement et assez stupide. De l'introduction du long métrage à son dernier acte, j'etais littéralement transporté dans l'univers visuel et l'action du film. Il ne se doute pas encore du destin auquel il est promis… Pourtant, le jour où il s’empare de l’épée Excalibur, il empoigne du même coup son avenir. Par les membres ayant fait le plus de critiques. C'est ainsi un flop historique pour Warner sur le sol américain, avec un démarrage inférieur à celui de deux autres productions ayant connu un flop : Jupiter : Le Destin de l'univers (18,3 millions) et Pan (15,3 millions)[24]. De même, si l'on met de côté les mimiques visuelles de Ritchie que l'on évoquait, le réalisateur bouscule en fait complètement les codes du contexte moyenâgeux avec la fougue de sa modernité et livre au passage bon nombre de superbes plans qui collent à la rétine (la rencontre avec la Dame du Lac pour n'en citer qu'un) ainsi que des scènes de combats en plans-séquences à couper le souffle lorsqu'Arthur se met à manier Excalibur. Après un élégant The Man from U.N.C.L.E, le cinéaste revient derrière la caméra pour un film d'aventure/fantastique - King Arthur: Legend of the Sword - et ce genre de film mélangeant fantastique, légende, faits historiques et aventures, Hollywood en fait des tonnes... Rappelons que le film est un prologue au récit des Chevaliers de la Table ronde. Le Roi Arthur : La Légende d’Excalibur ressemble à une cacophonie numérique, ponctuée de slow-motions affûtés et d’effets spéciaux emphatiques dans une palette de couleurs gris-bleus où percent des pointes rougeoyantes. Dans VSD, Olivier Bousquet souligne le « montage épileptique de plans noyés dans les effets numériques » mais remarque que « Charlie Hunnam est le seul à tirer son épée du jeu ». Préférences cookies | Kiki Kirin, Haru Kuroki, Mikako Tabe, Avec C'est jubilatoire au possible et se présente comme un plaisir régressif assumé. Des images de fantasy pure. On a un enchaînement de scènes qui se ressemblent, mises bout à bout, sans le moindre enjeu dramatique. C'est en effet parce qu'il part dans toutes les directions possibles qu'il n'est jamais ennuyeux, sa générosité en péripéties variées toujours prétextes à l'action accompagnée de très chouettes effets spéciaux nous assure un spectacle permanent sur un rythme qui ne faiblit jamais. Trois acteurs étaient « finalistes » pour obtenir le rôle-titre du Roi Arthur, Henry Cavill, Jai Courtney et Charlie Hunnam[7]. Le projet est annoncé dès 2010, avec John Hodge comme scénariste et Guy Ritchie à la réalisation[5]. Et cette interprétation est plutôt appréciable. C’est par conséquent sur le terrain du divertissement décérébré mais spectaculaire que le film tente de se rattraper, avec un résultat étonnamment convaincant. Simon Riaux de Écran large pense que « le premier problème du film de Ritchie n’est pas la vision qu’il propose de ce mythe séminal, mais bien son absence de vision ». Si vous recherchez les prémices et détails de l'histoire d'Excalibur, passez votre chemin ! Impossible de finir la critique sans un mot sur le flop magistral que Le Roi Arthur: La Légende d’Excalibur a connu au box-office américain. Lire ses 330 critiques, Suivre son activité Jude Law est annoncé dans le rôle de l'antagoniste principal, Vortigern, en novembre 2014[10]. Le scénario est assez/très classique dans sa forme, mais présenté de manière éclaté dans le film (notamment avec une séquence de Flash Back plutôt originale et des passages explicatifs de plans ou de situations complètement absurdes et décalés), il s'avère plus subtil qu'il n'y paraît dans le fond. Parce que oui, je ne comprends pas comment un britannique peut oser faire ça au mythe arthurien... Les Monty Python encore c'était irrévérencieux et potache tout en ayant une identité bien anglaise, mais là, c'est n'importe quel blockbuster US qui tente de faire de l'heroïc fantasy, ça n'a même pas la décence de respecter ses origines ou sa culture. La scène d’introduction résume toute la folie de ce film. Le récit y est tellement découpé, avec des sauts dans le temps qui défient parfois toute raison, que l’impression a priori déplaisante d’une perte de repères radicale accroît paradoxalement l’immersion dans un monde perpétuellement foisonnant. Pour faire simple, c’est le jeu vidéo God of War qui prend vie au cinéma. Date de sortie DVD/BR : 20 septembre 2017, Jeune homme futé, Arthur tient les faubourgs de Londonium avec sa bande, sans soupçonner le destin qui l’attend – jusqu’au jour où il s’empare de l’épée Excalibur et se saisit, dans le même temps, de son avenir. Extrait de la critique de notre chroniqueur Tobias Dunschen. Scénario : Joby Harold, Guy Ritchie, Lionel Wigram Film mythique, sur lequel les années qui passent ne semblent avoir absolument aucune emprise, Beetlejuice fêtera cette année ses 32 ans. Malgré des critiques presse mitigées, ce film vaut le détour ! Car à condition de vous laisser emporter par ce qui ressemble de près à un trip psychédélique, avec des effets spéciaux à la pelle en guise de convoyeur de magie, vous pourriez être agréablement surpris par cette histoire légendaire, passée à la moulinette par un réalisateur jamais adepte de finesse, quoique pas non plus étranger à une forme musclée d’efficacité. Élevé depuis l'enfance dans un bordel par des prostituées, il ignore l'immense destin qui l'attend, jusqu'au jour où il s'empare d'Excalibur. Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution Le Roi Arthur: La Légende d'Excalibur (King Arthur: Legend of the Sword) est un film américano - britannico - australien réalisé par Guy Ritchie , sorti en 2017 . Lire ses 226 critiques, Suivre son activité Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Je pense que s’ils avaient davantage mis l’accent sur le côté fantasy du film, ce dernier aurait pu acquérir plus de notoriété. John David Washington, Robert Pattinson, Elizabeth Debicki. Les images légendaires de Robert De Niro en chauffeur de taxi solitaire dans Taxi Driver et en boxeur malheureux dans Raging Bull, les deux chefs-d'œuvre de Martin Scorsese, c'était lui. D’un, le marketing du film a été très mal géré. Durée : 2h06 Laissez-vous emporter par les accords vigoureux de la musique de Daniel Pemberton pour goûter pleinement à cette aventure entièrement représentative du style de son réalisateur. Du bon boulot. Le film devait sortir initialement en France le 22 mars 2017 et aux États-Unis le 24 mars 2017. WhatsApp. Le Roi Arthur : La Légende d’Excalibur (King Arthur: Legend Of The Sword) est un nouveau long métrage du réalisateur Guy Ritchie, peu inspiré par ce film de commande.L’avis et la critique film de Bulles de Culture. Les acteurs quand à eux sont tous plutôt bons. Scénario : Joby Harold, Guy Ritchie et Lionel Wigram Les images légendaires de Robert De Niro en chauffeur de taxi solitaire dans Taxi Driver et en boxeur malheureux dans Raging Bull, les deux chefs-d'œuvre de Martin Scorsese, c'était lui. Renouveler la légende d'Arthur, pourquoi pas, mais là ce n'est pas du renouvellement c'est de la destruction. Un film qui mérite à coup sûr d'y jeter un œil. Je veux dire que ça aurait pu en jeter de le voir sur son cheval entrain de se pavaner un peu sur de la musique bretonne, celtique ou je ne sais quoi... Mais là j'ai juste l'impression de voir un clip. Mis au défi par le pouvoir du glaive, Arthur est aussitôt contraint de faire des choix difficiles. Le seul reproche qu'on pourrait lui faire est de ne pas prendre suffisamment son temps pour développer l'univers ou certains personnages à deux-trois moments clés. Une petite claque Visuelle qui force le respect. Vincent Lindon, François Damiens, Contact | La dernière fois que j’avais vu Arthur au cinéma. Antoine de Maximy, Alice Pol, Max Boublil, De La Loi se paye même le luxe de m’avoir impressionné sur certains passages, là où beaucoup de ses confrères du mal sombrent dans le ridicule. C’est pour ça qu’avant la séance, je craignais d’avoir un bis repetita du Roi Arthur de 2004. Depuis des décennies, l'histoire du Roi Arthur n'a cessée d'alimenter le cinéma sous toutes ses formes: du film d'aventure historique "Excalibur" de John Boorman (1981) jusqu'à la comédie parodique, "Monty Python: sacré Graal" de Terry Gilliam (1975) en passant par le film d'animation avec le classique Disney "Merlin l'enchanteur" (1964), sans oublier bien sur la série humoristique Française culte "Kaamelot" d'Alexandre Astier. Lire ses 3 710 critiques, Suivre son activité Steadicam, cuts rapides, mouvements improbables de caméras, séquences en images de synthèses ultra rapides. Que c'est gris, terne et monotone et si les acteurs ne sont pas aidés par l'écriture ils sont pour la plupart insipides. Initialement prévu pour sortir en Août 2016, le Roi Arthur: la légende d'Excalibur a été maintes fois repoussé au vu du très grand nombre de blockbusters à paraître avant de finalement sortir en mai 2017. Aux États-Unis, le film reçoit des critiques globalement négatives. Tout avait été fait pour que ce soit un truc ultra-réaliste. Du côté des avis positifs, Marie-Noëlle Tranchant du Figaro écrit notamment « le film de Guy Ritchie entraîne Charlie Hunnam et Jude Law dans un film d'action visuellement séduisant ». Visuellement c'est assez impressionnant. Et plus le film avance, plus l'image présentée est construite par ordinateur. Et bien sûr le thème "The Devil & The Huntsman" par Sam Lee, entendu dans la bande annonce du film marque définitivement de son empreinte la séquence où elle est utilisée. Vous avez entré une adresse email incorrecte! Pourtant ça ne démarre pas trop mal, la scène d'introduction étant clairement la meilleure du film, avec des combats encore à peu près lisibles. 47 abonnés Et le moins que l'on puisse dire c'est que ça a de la gueule. En plus de ça, Guy Ritchie continue avec son montage si atypique même si je regrette que sa reprise de la scène culte de Snatch ne soit pas aussi aboutie. Publicité | Environ, 15 millions pour ses trois premiers jours. XD). Je recommande chaudement. Lire ses 502 critiques, Suivre son activité À moins qu’on ne renomme le film en God of War. S'il vous plaît entrez votre commentaire! Un petit bémol quant à la VF qui prête au héros des expressions du XXI ème siècle assez surprenante aussi, mais à bien y réfléchir, plutôt en rapport avec cette personnalité assez déjantée ! Mais pour le reste c'est du bon Guy Ritchie!!! Bien sûr, il ne faut pas être très pointilleux et accepter de voir à nouveau la légende du Roi Arthur être mise à mal (par un Anglais cette fois de surcroît, un comble) pour les besoins d'un film à grand spectacle mais, à cette condition, force de constater, que "Le Roi Arthur" est un blockbuster qui accomplit plutôt bien sa tâche primaire de nous en mettre plein les mirettes pendant un peu plus de deux heures. Ses thèmes à consonnance celtiques sont particulièrement réussis. Si j’en suis étonné, c’est qu’il m’avait paru ridicule dans les bandes-annonces. Critique : Le Roi Arthur La Légende d’Excalibur. Arthur est une légende, pas un clip. Rien que pour ça, merci Le Roi Arthur: La Légende d’Excalibur.