Le choix des places (14,7-11). La.Luc en personne, dans son Prologue, a précisé sa méthode et sa préoccupation première :Théophile devait être un éditeur de Rome par lequel Luc a publié son double ouvrage de l'Évangile et des Actes, mais aussi un chrétien fervent, qui en l'espèce les représente tous.Luc a décidé de suivre l'exemple de plusieurs confrères : Matthieu l'apôtre qui, en.Philippe enfin, le diacre et compagnon d'Étienne, qui entreprenait avec l'aide de Luc de confectionner un Évangile original reprenant les « Paroles » de Matthieu, mais qu'il n'écrirait et ne publierait qu'après le départ pour Rome de Luc et de Paul.Luc est allé aux sources, ainsi qu'aux documents originaux, comme il l'affirme lui-même avec insistance. Les invités qui se dérobent (14,15-24).XV. Même la «.Ces intercalations constituent la structure même du troisième évangile et le procédé de Luc. » (Lc 1,1-3).Luc a interrogé les « témoins oculaires et [les] serviteurs de la Parole », ceux de la première génération qui avaient connu le Seigneur : avant tout Jean, l’apôtre, et même la mère de Jésus, ainsi que les « frères » ou cousins du Seigneur : Jacques, Simon et Jude, et avec eux toute l’Église de Jérusalem, héritière au premier chef de la pensée et de la mémoire de Jésus. L’événement cependant est différent. L’Évangile selon Luc est l’un des soixante-six livres inspirés qui composent la Bible. Tout son livre ne serait qu'une montée. 01 BEAUCOUP ONT ENTREPRIS de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous,. » L’incise (,L'hypothèse que la généalogie lucanienne serait celle de Jésus par Marie sa mère, fils ou descendant « d’Héli, de Matthat… de Nathan, de David, de Jessé…, d'Abraham, ... de Noé, ... de Seth, d’Adam, de Dieu. Celle de Luc ne voudrait que renseigner les chrétiens, les « Théophiles »,Ce fut sans doute sur l’ordre de Paul, dont il était le collaborateur immédiat, que Luc aura inséré en cet endroit de « mon évangile »,Dans le libellé de la généalogie de Luc, on lit : « Et ce Jésus était, en commençant, âgé d’environ trente ans, étant fils de (croyait-on Joseph), d’Héli, de Matthat, ... de Nathan, de David, de Jessé… , d'Abraham, ... de Noé, ... de Seth, d’Adam, de Dieu. Zachée à Jéricho (19,1-10). … Matthieu en parle selon le point de vue de.Les récits sont disposés symétriquement dans leur Évangile respectif, et bien que les faits racontés soient différents, ils sont superposables, et en tout cas parfaitement conciliables pour ce qui concerne les principales affirmations historiques ou doctrinales sur Jésus :On ne distingue aucune divergence entre eux. Le livre de Luc est la première partie d’un ouvrage à deux volumes : Luc Les Actes des apôtres Luc est un historien, un chercheur. Il le remplace par le récit d'une pêche miraculeuse, située un peu plus tard. La tradition unanime a toujours attribué à Luc, compagnon de Paul, la composition du troisième Évangile. Propre à Luc sauf que Matthieu grec a un verset parallèle (Mt 6,24) dans le Sermon sur la montagne.Propres à Luc, et encore dans la grande insertion.Après la reprise du parallèle avec Marc en Lc 18,15. Guérison d'un hydropique (14,1-6).XIII. Le très beau récit de la pécheresse pardonnée n’est pas sans rappeler l’onction à Béthanie de Mc 14,3-9 que Luc a omis. L'intendant infidèle et ses suites (16,1-15).XVII. Il l'a fait en historien consciencieux, même si son œuvre demeure artisanale à bien des égards.En vrai « écrivain de la mansuétude du Christ », comme dirait Dante, il aimait à souligner la miséricorde de son Maître pour les pécheurs (l'enfant prodigue), à raconter des scènes de pardon (le bon larron, pardonné sur la croix). La parabole des mines (19,11-27).XX. Il fallait seulement qu'on se repente. La critique historique place la rédaction de ces deux ouvrages dans les années 70-85, en tout cas après la rédaction de l',Avec les évangiles selon Marc et selon Matthieu, le récit de Luc fait partie des trois.La tradition chrétienne attribue à Luc, compagnon de Paul, la paternité de ce troisième évangile canonique.Luc est connu par le Nouveau Testament. L'annonce de l'emprisonnement du Baptiste (3,19-20.VII. Nous vous encourageons à lire l’Évangile de Luc afin d’en savoir plus sur Jésus-Christ et les miracles qu’Il peut accomplir dans votre vie ! » (Adv. Evangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu,Evangile de Jésus-Christ selon saint Marc,Evangile de Jésus-Christ selon saint Jean,Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens,Deuxième lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens,Lettre de saint Paul Apôtre aux Ephésiens,Lettre de saint Paul Apôtre aux Philippiens,Lettre de saint Paul Apôtre aux Colossiens,Première lettre de saint Paul Apôtre aux Thessaloniciens,Deuxième lettre de saint Paul Apôtre aux Thessaloniciens,Première lettre de saint Paul Apôtre à Timothée,Deuxième lettre de saint Paul Apôtre à Timothée. L'entourage féminin de Jésus (8,1-3).XI. La généalogie de Jésus. Car dans la grande insertion de Lc 9,51–18,14 (l'« insertion des montées »), Luc a pu inclure des éléments de son crû, qui n'étaient pas repris de la.Et dans la chaîne de Marc, il a déplacé et modifié des éléments selon, peut-être, les conclusions de son enquête personnelle et les renseignements qu'il a pu collecter.Selon Jean, et sans doute Marie, comme nous l'avons dit.Luc supprimera plus loin l'incise de Marc (6,17-29) sur l'exécution de Jean-Baptiste, et l'anticipe, ici, par une annonce précoce de son emprisonnement. Son évangile met l’accent sur le salut et la miséricorde. Seul il place en cet endroit, juste avant l'entrée à Jérusalem, la dure parabole des mines. Il serait né dans la cité grecque d’Antioche, en Syrie – ou à Philippes (Macédoine) selon les traditions –, et a vécu au I er siècle ap. Luc, qui n'avait pas forcément emporté tous ses documents, a pu reconstituer son texte de mémoire, en y apportant quelques variantes originales, quoique minimes.Luc s'est servi de Marc, et de ses autres sources, en les intercalant dans des plages bien visibles, avec de nets points de suture, au point que le plan que l'on devra établir de l'Évangile de Luc tiendra compte, en priorité, de ces plages, avant tout autre considération (de théologie ou de chronologie).À part Marc, dont on connaît le texte, les sources de Luc sont toutes supposées, et même incertaines. En cet endroit, il interrompt Marc pour y placer, d'accord avec Matthieu grec, le Sermon sur, ou en redescendant de, la montagne.Luc est seul à rapporter ce miracle éclatant. La généalogie donnée par l'Évangile selon Matthieu était une généalogie royale, partant d ’Abraham et passant par David, par Salomon et par tous les rois de Juda (la dynastie de David). Mais il se trouve qu'ils ont rédigé sans se copier, indépendamment l'un de l'autre.C'est à toutes ces questions que va tenter de répondre « l'hypothèse du diacre Philippe. S'il était dans la,Même incertitude. Celle de Marc, après la tempête apaisée, sera plus anodine.Signalée en cet endroit de concert avec Matthieu grec (4,13), quoiqu'en des termes dissemblables, sans être explicitement dans Marc, en vertu d'une entente préalable ou d'une lecture commune de Marc. L'Évangile selon Luc a probablement été écrit avant la,Il commence par raconter la naissance et l'enfance de.La tradition unanime a toujours attribué à Luc, compagnon de Paul, la composition du troisième Évangile.Un ancien prologue grec de l'Évangile de Luc, daté de la fin du second siècle, décrivait ainsi la genèse (la naissance) de cet Évangile et son auteur. Cette formule est exacte, bien sûr, sauf qu'on peut faire remarquer que cette ligne très simple de la montée vers Jérusalem existait déjà dans Marc. Cela confirmerait le renseignement donné dans le prologue ci-dessus que Luc serait antiochien.Paul se réfère à Luc en Col 4,14 où il l'appelle,Comment se fait-il que Matthieu grec et Luc ont utilisé conjointement, d'une part l'Évangile de Marc qu'ils ont inséré dans leur narration au point d'en faire le canevas de leur propre ouvrage, et d'autre part une source inconnue, mais commune, qu'on a baptisée du nom de « source Q » (du mot allemand.Ils ont complété ce travail par l'adjonction parallèle des récits de l'enfance, et par les résultats de leur enquête personnelle. Si nous ajoutons à cet écrit le livre des Actes des apôtres, Luc est l'auteur qui, après l'apôtre Paul, a apporté la plus grande contribution au Nouveau Testament. Et par conséquent selon ce dont il avait pu s'informer il commença à le dire à partir de la Naissance de.On trouve déjà le « Nous » dans le texte occidental des Actes, dès le temps de la fondation de l'Église d'Antioche (vers l'an 37). La pécheresse pardonnée (7,36-50). « Luc était un syrie… 1 Tm 1,3) et il a pu retourner en Grèce après le martyre de l'apôtre.On doit effectivement constater que l'Évangile de Luc et les Actes nous sont parvenus sous deux formes légèrement différentes : le texte alexandrin, ou texte reçu, et le texte dit « occidental », qui toutes les deux paraissent authentiques, de la main de Luc.Ces livres ont pu connaître deux éditions, une à Rome, à la fin de la première captivité romaine de Paul (effectivement la narration des Actes s'arrête là), et l'autre en Grèce. Mais l'historien Luc a d'abord voulu préserver la substance de tous les documents qu'il avait à sa disposition, même s'il les a abrégés. »,D'après cette hypothèse, le diacre Philippe, l'un des « Sept », serait l'auteur réel de l'Évangile de Matthieu, après concertation avec Luc, compagnon de Paul de Tarse, lors du séjour en.Philippe et Luc auraient hérité de deux sources :Philippe comme Luc auraient eu tout le temps de mener leur enquête personnelle.Il ne serait pas impossible que Philippe comme Luc se fussent servis d'une version privée de Marc, plus ancienne, non publiée et légèrement différente de celle que nous connaissons.Il faut remarquer qu'en Ac 21,8 Philippe est dit.Cette hypothèse a l'avantage de concilier remarquablement les données de la tradition et les données de l'analyse interne. » Un ancien prologue grec de l'Évangile de Luc, daté de la fin du second siècle, décrivait ainsi la genèse (la naissance) de cet Évangile et son auteur. Les deux visites diffèrent beaucoup. » a été défendue notamment par.Malgré ses limites, dues surtout aux incertitudes sur l'étendue réelle de la source Q, l’analyse du plan a montré le travail d’élaboration de l’auteur. Il insisterait volontiers sur la tendresse de Jésus pour les humbles, et pour les pauvres ; tandis que les orgueilleux et les riches jouisseurs seraient sévèrement traités (Lazare et le mauvais riche).Cependant même la juste condamnation ne se ferait qu'après les délais patients de la miséricorde. Luc place la sienne juste après la reconnaissance officielle du Fils par le Père au Jourdain, selon le psaume : «.Luc anticipe ici la visite à Nazareth de Mc 6,1-6a peut-être selon des renseignements propres. Travail d'historien.Insérée ici, après le baptême du Christ dans le Jourdain, d'une manière très différente de Matthieu grec (Philippe) qui avait placé la sienne en entrée, pour montrer que Jésus était l'héritier légitime de tous les rois de Juda. Hae III, 21, 10).Dans l'énoncé de la généalogie de Luc, on lit : «,Saint Irénée devait répéter sur tous les tons que Marie était ce «.Saint Irénée a puissamment résumé dans une page célèbre la nouveauté de l'Évangile de Luc. Les trois paraboles de la miséricorde (15,1-32).XVI. Résumé de l’Évangile selon Luc. N’oublions pas, en outre, que l’évangile de Luc représente le « premier tome » de l’œuvre de Luc qui se prolonge dans les Actes des Apôtres. Luc est le seul homme non juif que Dieu ait appelé à écrire un livre de la Bible. Peut-être conformément au témoignage de Jean.Luc transpose cet épisode de Marc (3,7-12) juste après le choix des Douze, alors que Marc l'a juste avant. Les dix lépreux (17,11-19). Le choix des invités (14,12-14). Paul se réfère à Luc dans l',Ces traditions sont aujourd'hui contestées par la plupart des historiens et des exégètes, pour lesquels Luc a écrit ses deux textes («.Les plus anciens témoins scripturaires du troisième Évangile, les manuscrits grecs et les versions latines anciennes ont été classés en deux grandes catégories :Luc a utilisé, en substance, environ 364 versets de Marc sur 661, ce qui représente 35 % du texte lucanien,Neuf brèves péricopes de Marc, seulement, sont déplacées par Luc. « Luc était un syrien d',Ce prologue poursuivait : « Quoique des évangiles existassent déjà, celui selon Matthieu, composé en,De même le Canon de Muratori (document romain du milieu du second siècle) : « Troisièmement, le livre de l'Évangile selon Luc. Celle de Luc, placée dès le début du ministère public, est tragique et se termine par une tentative d'assassinat. En effet, on doit au seul Luc, beaucoup d'épisodes de la vie de Jésus, et des paraboles du Christ parmi les plus célèbres.N'en citons que quelques-uns : La résurrection du fils de la veuve de Naïm. Bien entendu, le résumé de l’Évangile de Luc ne peut que donner les points essentiels du texte et ne peut en aucun cas le remplacer. J.-C. Il serait mort à l’âge de quatre-vingt-quatre ans en Béotie (Grèce). Deux sur trois sont propres à Luc, mais Matthieu grec a en parallèle (Mt 18,12-14) la parabole de la brebis perdue qu'il a placée dans son discours ecclésiastique.Dans la grande insertion. Luc montre d’ailleurs fort bien cette continuité en terminant son évangile par l’Ascension de Jésus qu’il reprend de façon plus développée au début des Actes (1, 6-11). La résurrection du fils de la veuve de Naïm (7,11-17).IX. Avec la description qui lui fait suite, de l’entourage féminin de Jésus, on le suppose pris dans la source Q ou bien ajouté par son activité rédactionnelle (voire créé par lui).L'anecdote de Marc (3,31-35) transposée par Luc de juste avant à juste après le discours parabolique.Luc profite de la mention de Marc (10,1) : «.Dans sa grande insertion, Luc place nombre d'épisodes lié à son activité rédactionnelle propre.Propres à Luc, et encore dans la grande insertion, sauf que Matthieu grec a un verset parallèle (Mt 23,12) placé après l’entrée à Jérusalem.Discours de Jésus propre à Luc et dans la grande insertion, sauf quelques versets parallèles dans Matthieu grec, ou dans Marc.Dans la grande insertion. Luc, dans son prologue, a précisé sa méthode et sa préoccupation première :« Puisque plusieurs ont entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous, d’après ce que nous ont transmis ceux qui furent dès le début témoins oculaires et serviteurs de la Parole, j'ai décidé, moi aussi, après m’être informé exactement de tout depuis les origines, d’en écrire pour toi l’exposé suivi, excellent Théophile. « De son côté Luc, le compagnon de Paul, consigna en un livre l'Évangile que prêchait celui-ci. Guérison d’une femme courbée (13,10-17). Seul Luc a la belle histoire de Zachée. Le grand commandement (10,25-28). Remarquons combien cette parabole est judicieusement située, d'un point de vue géographique, car elle fut prononcée devant le palais d'Hérode, à Jéricho, qui n'était pas sans rappeler l'histoire d'Archélaüs, parti à Rome («.Luc a placé les premiers outrages faits à Jésus, après le reniement de Pierre, tandis que Marc (14,65) les a avant.Au récit de la Passion des autres évangélistes, Luc rajoute la comparution de Jésus devant Hérode Antipas, selon les résultats de son enquête personnelle.Compléments donnés à Marc, d'après le témoignage oral de Jean.Les traits communs à ces ajouts du « matériel L » (péricopes qui ne se trouvent pas dans les deux autres synoptiques) ont certains traits que l'on peut rattacher à l'activité rédactionnelle ou à la spécificité théologique du rédacteur de l'évangile de Luc et des Actes des Apôtres: attention aux non Juifs (ce sont pratiquement les seules mentions des samaritains, plusieurs paraboles laissent entendre que l'invitation au royaume de Dieu, devant le refus de ceux auquel elle avait été faite s'élargit aux gentils…).Autrement dit le Sermon sur la montagne (ou plutôt, chez Luc, en redescendant de la montagne) et la fameuse insertion dans la chaîne de Marc (entre les deux versets Mc 9,50 et 10,1) de l'immense plage Lc 9,51–18,14 que l'on pourrait appeler l' « insertion des montées », par allusion aux psaumes du même nom, puisqu'elle s'inscrit dans le cadre de la dernière montée de Jésus à Jérusalem telle que narrée par Luc.À ces deux plages, il convient d'ajouter le.Lesdites imprécations et tentations pouvaient d'ailleurs faire l'objet d'un document à part, distinct de la source Q. Mais on n'a aucun moyen de le démontrer.On sait que l'existence de la source Q ne fait aucun doute, puisque Matthieu et Luc possèdent en commun des textes qui ne sont pas dans Marc.Par contre il est très difficile, impossible même, de délimiter les contours précis de ce document, son plan, son libellé exact, puisque d'une part Matthieu et Luc ne l'ont pas repris dans le même ordre ni le plus souvent selon le même libellé ; et d'autre part on ne sait pas s'ils l'ont rapporté.Dans la plage : Lc 9,51 --- 18,14 Luc a sans doute rajouté des récits ou paraboles de son crû, tirés de son fonds personnel : par exemple l’histoire du bon samaritain Lc 10,29-37) ; Lazare et le mauvais riche : Lc 16,19-31 ; le pharisien et le publicain : Lc 18,9-14 ; puisque ces péricopes n'ont pas d'équivalent dans Matthieu.Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Utilisation de l'Évangile de Marc par Luc,Interprétation : Luc, l’évangéliste de la miséricorde,Rapport entre Luc et les autres évangélistes,Apports propres de Luc : les résultats de son enquête personnelle,« plus complexe qu'il n'apparaissait au regard candide des anciens »,https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Évangile_selon_Luc&oldid=162373637,Article avec une section vide ou incomplète,Portail:Religions et croyances/Articles liés,licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions,comment citer les auteurs et mentionner la licence.3,1 -- 6,19 (moins la généalogie: 3,23-38).Saint Irénée a affirmé à plusieurs reprises que Marie était elle-même descendante de David et que « C’est de Marie encore vierge qu’à juste titre il (Jésus) a reçu cette génération qui est la récapitulation d’Adam,Dans le Talmud, Marie, mère de Jésus, est formellement identifiée comme « fille d’Héli ».I. Marthe et Marie (10,38-42). Il a été rédigé vers 56-58 de notre ère par Luc, médecin et prosélyte originaire d’Antioche en Syrie. Le bon samaritain (10,29-37). Articles détaillés : Discours sur le mont des Oliviers et Grande Tribulation. Après l',Il continue : « Cependant lui non plus ne vit pas le Seigneur dans la chair. Mt 1,16) qu'une généalogie officielle et supposée.Saint Irénée a défendu vigoureusement ce point de vue, affirmant à plusieurs reprises que Marie était elle-même descendante de David et que « C'est de Marie encore Vierge qu'à juste titre il (Jésus) a reçu cette génération qui est la récapitulation d'Adam. Il s'est situé d'emblée dans une attitude très humble à leur égard, bien qu'il les ait revêtus de son style et imprégnés de sa haute spiritualité, son sens de l'Esprit.C'est pourquoi le plan que nous proposons, de Luc, fera d'abord appel à la nomination et à l'identification (supposée) de ses sources.On pourrait aisément compléter ce schéma, en nommant un par un tous les épisodes contenus dans l'Évangile de Luc (On pourrait en dénombrer jusqu'à 171).Matthieu et Luc, qui s'étaient longuement consultés à Césarée maritime vers 57-59, avaient dû décider de raconter chacun de leur côté les évangiles de l'enfance. Les foules à la suite de Jésus (6,17-19).VIII. Parmi les quatre évangiles, le plus long est celui qui porte son nom. Il enquêta sur place en Palestine, profitant de son séjour forcé et prolongé dans la patrie du Christ.Le travail rédactionnel de Luc s'avère donc considérable dans cet évangile, qui est le plus long de nos quatre canoniques.En plus des documents écrits : Marc, et les,Ses apports propres dans l'évangile, et les résultats de son enquête ou de sa rédaction personnelle, sont très sensibles, quoique difficiles à délimiter avec précision. Le Pharisien et le publicain (18,9-14).XVIII. Les récits de la naissance et de l'enfance (1 -- 2).II. Bref résumé : L’Évangile de Luc, appelé « le plus beau livre jamais écrit », commence par nous parler des parents de Jésus ; la naissance de son cousin, Jean -Baptiste ; le voyage de Marie et de Joseph à Bethléem où Jésus est né dans une crèche ; puis la généalogie de Christ par Marie, sa mère. Ce Luc était médecin. Jésus est présenté comme Sauveur, Nouvel Adam. Lc 22,19-20) avant l’annonce de la trahison de Judas, alors que Marc (14,22-25), suivi par Matthieu (26,26-29), l'a placée après.En réalité Luc s'est servi de Marc, et de ses autres sources, en les intercalant dans des plages bien visibles, avec de nettes sutures, au point que le plan que l'on devra établir de l'évangile de Luc tiendra compte, en priorité, de ces plages, avant tout autre considération, théologique ou chronologique.Les passages de Luc que l'on peut attribuer à Marc sont donc :Soit la majorité des récits de Luc, non tous cependant, car il en a pris dans son enquête personnelle, ou même dans la source Q. Mais Marc reste le guide et le prototype de son livre.Mais Luc, à la différence de Matthieu, a pratiqué de grandes coupes dans la narration de Marc.Notons surtout la grande omission de Mc 6,45–8,26 qui inclut la seconde multiplication des pains ; l'étape en Pérée et la question sur le divorce (Mc 10,1-12) ; la demande des fils de Zébédée (Mc 10,35-45) ; le figuier stérile et desséché (Mc 11,12-14.20-26) ; le plus grand commandement (Mc 12,28-34), etc.Cette date n'est pas à placer avant 70, date de la.Luc s’est servi de Marc, et de ses autres sources, en les intercalant dans des plages bien visibles, avec de nets points de suture, au point que le plan que l’on devra établir de Luc tiendra compte, en priorité, de ces plages, avant tout autre considération (de théologie ou de chronologie).À part Marc, dont on connaît le texte, les sources de Luc sont toutes supposées, et même incertaines. Le figuier stérile (13,6-9). En particulier, elle lève certaines difficultés de la Théorie des deux sources.Pourquoi Matthieu grec et Luc, quoique ayant travaillé indépendamment l'un de l'autre, connaissent-ils malgré tout, des accords remarquables : même place des évangiles de l'enfance avec des développements parallèles quoique différents ; insertion au même endroit de la trame de Marc (3,19) des Béatitudes et du Sermon sur la montagne (sous des formes très dissemblables, et quoique Marc en cet endroit ne parle ni de béatitudes ni de sermon) ; utilisation de deux sources identiques (Marc et les « Paroles ») quoique avec des modalités très diverses ; sans parler de maints accords de détail (contre Marc) qui sont depuis longtemps des « croix » pour les exégètes (les spécialistes).Il n'y eut donc pas copie entre eux, mais bien concertation préalable, et même lecture commune des mêmes sources.Certaines traditions, on l'a vu plus haut, nous disent que l'Évangile de Luc, et les Actes, auraient été composés en Grèce, et que Luc lui-même serait mort en Grèce.Mais précisément Luc a dû suivre Paul en Grèce après la fin de sa première captivité romaine (cf.