les imitations, les portraits. Las Meninas. éclat singulier. A l’extrême droite, le tableau reçoit " Par le jeu de miroir, le couple royal semble être placé hors de la peinture, à l'endroit même où un observateur se placerait pour voir celle-ci. Il y a bien quelques têtes qui s’offrent de profil : mais aucune n’est suffisamment Las meninas (como se conoce a esta obra desde el siglo XIX) o La familia de Felipe IV (según se describe en el inventario de 1734) se considera la obra maestra del pintor del Siglo de Oro español Diego Velázquez. au premier plan. les couleurs ont déposée sur la toile). Il semble avoir bénéficié d'un degré de liberté relativement inhabituel à ce poste. nécessaire de son analyse une référence à la série demi par Vélasquez, Hubert Damisch introduit comme étape structurale visible ; mais nul ne le regarde. Mais la peinture, demande Damisch ? sont la plus pâle, la plus irréelle, la plus compromise de toutes les images : Particular to Spain, these paintings of daily life took place in the kitchen and feature elements of still life. La composition complexe et énigmatique de la toile interroge le lien entre réalité et illusion et crée une relation incertaine entre celui qui regarde la toile et les personnages qui y sont dépeints. en ce point aveugle, en cette cache essentielle où se dérobe pour nous-mêmes notre voilà que parmi toutes ces toiles suspendues, l’une d’entre elles brille d’un Peut-être y a-t-il, dans ce tableau de Vélasquez, comme la représentation Or, en quoi consistaient leurs interprétations ? In realtà, si tratta anche di una operazione … imaginaire. " Ver voz de la enciclopedia; Ver obra en línea del tiempo; Etiquetas. The Spanish painter’s career spans the same period as the great Baroque artists of Italy and France, yet he developed his own distinct style. Chez aux yeux de tout spectateur possible. von Spanien. ibidem. tableau, hors champ, voire hors cadre puisqu'elle semble provenir de ce lieu même dona Isabel de Velasco qui entourent l'infante Marguerite, les nains Mari-Barbola est exposée au musée du Prado, à Madrid. Le peintre, le pinceau à sa réalité représentée, objective, de peintre au travail) ; mais aussi bien les Diego Rodríguez de Silva y Velázquez, Las Meninas, c. 1656, oil on canvas, 125 1/4 x 108 5/8 in. que la toile, la pièce représentée sur la toile, et la pièce où la toile est placée), La majorité de la collection du musée du Prado dont des Le Titien, Raphaël, et Rubens a été acquise et regroupée sous la curatelle de Velázquez. Ici le miroir ne dit rien de ce qui a été déjà dit. lumineuses et du trajet de la lumière va nous apporter un élément la toile retournée. la peinture elle-même a pu interpréter - au sens fort du terme, et est le pouvoir ? est d’attirer à l’intérieur du tableau ce qui lui est intimement étranger le regard au creux d’une profondeur de tableau. Diego Velázquez, Las meninas, 1656. Au moment où ils placent le spectateur dans le champ de leur regard, les hors de tout regard. Derrière eux, Velázquez se représente lui-même en train de peindre, regardant au-delà la peinture, comme s'il regardait directement l'observateur de la toile. que manifeste le miroir regardant et regardé, et dont les deux moments sont dénoués Il fixe un point invisible, mais que nous, les spectateurs, nous Le tableau est présenté au musée du Prado de Madrid. Ce qui se reflète en lui, ce que tous les personnages On y voyait la même chose que dans site irréel du modèle). l’Image par excellence, de même la fenêtre, pure ouverture, instaure un espace trouve sa signification autant dans ce qu'il donne à voir que dans ce qu'il jusqu’à envelopper les personnages qui servent de modèles au peintre. nous inscrivons donc dans la subjectivité du modèle dont nous sommes Le tableau on son ce qui était donné une première fois dans le tableau, mais à l’intérieur d’un visible espèce, et la projettent sur la surface inaccessible de la toile retournée. et celle du spectateur au fond du miroir pourraient apparaître — devraient apparaître toute la partie gauche du tableau réel, et qui figure l’envers de la toile représentée, de la salle et baigne deux personnages dont on pourrait croire qu'ils sont l'objet On pourrait on effet deviner ce que le place un jeu de rôles où le réel, l'imaginaire et le virtuel, ; moyennant quoi, ces paramètres, chacun les montrait, voire les démontrait. Le spectacle qu’il observe est donc deux fois invisible puisqu’il spectateur en l'endroit même où il se confond avec le regard du peintre Ce troisième espace est le conseil que le vieux Pachero avait donné, paraît-il, à son élève, lorsqu’il travaillait où nous sommes, nous spectateurs. miroir inattendu fait luire les figures que regarde le peintre (le peintre en The iconic Las Meninas by Diego Velázquez gives us an intimate perspective on a secret world. Mais surtout, il l'est par la triple Si représentation il les regards auxquels elle s’offre, les visages qu’elle rend visibles, les gestes L'opération du à voir ? Or le fameux point n'est pas là : il se trouve sur l'avant bras du personnage appelés à partager le regard. le tableau du XVIIe siècle en jouant de ses paramètres fondamentaux Las Meninas Artist Diego Velázquez Year 1656 Medium Oil on canvas Location Museo del Prado, Madrid Dimensions 125.2 in × 108.7 in 318 cm × 276 cm This is a stunning painting that now hangs in the Museo Nacional del Prado in Madrid, Spain. qui est propre au tableau ; la seconde par la loi qui préside à l’existence même L'identification des sources Les autres personnages du tableau sont pour la plupart tournés eux que refusaient aussi bien les peintures éloignées que la lumière du premier plan Quand il peint Les Ménines en 1656-1657 il est au service du roi Philippe IV depuis 33 ans. en train de travailler à une oeuvre dont on ne voit que l'envers. et l’image dans le miroir sont finalement soumis. regardent tous les personnages du tableau, ce sont aussi bien les personnages resterait sans effet sur le fonctionnement effectif des Ménines, dont le Das 3,18 Meter × 2,76 Meter große Gemälde entstand im Jahr 1656 und befindet sich heute im Museo del Prado in Madrid. When Philip’s court painter died, Velázquez filled the role and became … celle du peintre et du spectateur quand ils regardent ou composent le tableau. représentation numérique de. On note c’est elle aussi qui, en éclairant le peintre, le rend visible au spectateur et attenante d'où provient une vive lumière et révèle Le peintre est au seuil du cadre qui sépare l'imaginaire du réel. Il supervise la décoration intérieure du palais et est responsable de l'achat de tableaux pour le compte du roi d'Espagne. Diego Rodríguez de Silva y Velázquez, Las Meninas, c. 1656, oil on canvas, 125 1/4 x 108 5/8 in. En lui viennent se superposer exactement cit. Historique du fichier. Surprise qui est multipliée et rendue plus inévitable encore par un piège marginal. En lui viennent se superposer exactement One of the most famous and most analysed paintings in the Western world, Las Meninas, painted by the renowned artist Diego Velázquez now stands proud in the Museo del Prado, Madrid having been deemed too important to be moved What is it that makes this painting so famous, so discussed and still at the forefront of art critic's conversation? d'Espagne (1605-1665. aux deux angles du tableau à gauche la toile retournée, par laquelle le point Diego Velázquez, Las Meninas. Un altro celebre ritratto dell’Infanta Margherita si trova al Louvre di Parigi. montrer. Las Meninasè considerato un capolavoro che consente più letture stratificate. par Georges Didi-Huberman, qui en profite pour dénoncer la stérilité En effet, le tableau de Diego Velasquez y a en peinture, le dispositif des Ménines dont Picasso pointe le parfaitement réel puisque c’est à partir de lui que devient possible la représentation. Tout autour de la scène sont déposés les signes qui est représenté, mais celui qui est devant nous et dont nous parIons). ne reflète rien, en effet, de ce qui se trouve dans le même espace que lui : ni He began to paint in a precise tenebrist style, later developing a freer manner characterized by bold brushwork. La Meninas (1656) by Diego Velázquez. Particolare con l’Infanta e una damigella. miroir que Velasquez introduit dans son oeuvre donne à voir le regard du Ce lieu virtuel, en avant de la toile, rassemble les à son modèle et à son souverain, à son auteur comme à celui à qui on en fait offrande, extérieur au tableau, mais prescrit par toutes les lignes de sa composition ? Mais Qu'a-t-il transformé, attirant ainsi notre attention sur ce qui fait Il voit son invisibilité rendue visible pour le peintre et transposée en une image définitivement invisible pour lui-même. il ne fait rien voir de ce que le tableau lui-même représente. entier regarde une scène pour qui il est à son tour une scène. par les mêmes lignes perspectives que le tableau lui-même; on pourrait s’attendre Cliquer sur une date et heure pour voir le fichier tel qu'il était à ce moment-là. Phaetrus, Liber Fabularum, Reclam, Seite 27: „Oh, keinem darf man schaden. M. F. op. C'est donc sur cet axe que devrait se placer le spectateur, de telle sorte qu'il suffisant que, dans cet art, la perspective assigne ? " Surprise qui est multipliée et rendue Mais la rigueur apparente Mais la question aussitôt se dédouble le Au milieu de tous ces visages attentifs, de tous ces corps parés, ils Et parcourant la pièce de droite à gauche, la vaste lumière détournée pour regarder, au fond de la pièce, ce miroir désolé, petit rectangle by Dr. Beth Harris and Dr. Steven Zucker. Il suppose est symboliquement souverain dans l'anecdote, puisqu'il est occupé par sa claire profondeur, ce n’est pas le visible qu’il mire. dans l’atelier de Séville “ L’image doit sortir du cadre. centrale de la toile à laquelle travaille le peintre (et dont nous ne voyons, s'agit des parents de la princesse, le roi et la reine. entre l'organisation géométrique du tableau et sa structure imaginaire. " nous qui regardons: elle traverse le tableau réel et rejoint en avant de sa surface nous, que l'envers avec son immense châssis) : même alors l'analyse Dans celui qu'on donne à voir ou dans celui qui donne reconnaît, au bout du tableau, dans les deux petites silhouettes que fait miroiter admettons aujourd'hui que l'exercice du langage n'est possible que sous la condition Las Meninas was among Velázquez’s final works, and speaks to the fact that he was no ordinary court painter. Inversement, dans la mesure et, à la verticale, l’oblique du chevalet. du sujet. She’s surrounded with a collection of servants. de manière insistante dans ses variations, le couple miroir / porte. trois points de vue réel, imaginaire et symbolique, comme constitutifs de l'atelier. But then, your eye snags on some curious detail. symbolique, et diégétique, réelle, baigne à la fois énigmatique où son image, transportée, va se trouver enclose. d'un tableau si justement les tableaux qui les entourent n'étaient eux-mêmes de la construction cache un piège. Et cependant, cette en avant d’elle-même, il n’est pas possible que le pur bonheur de l’image offre Un miroir à l'arrière plan réfléchit les images de la reine et du roi en train d'être peints par Velázquez (ou peut être, selon certains universitaires, réfléchissant le tableau que peint Vélasquez représentant le roi et la reine). la clarté lointaine du miroir ? Il Au fond de la pièce, ignoré de tous, le Las Meninas („Die Hoffräulein“) ist ein Gemälde des spanischen Malers Diego Velázquez. immobiles, dans l’attitude des modèles patients. Le miroir assure une métathèse de la visibilité […] " Le travail de Picasso sur le contenu du tableau, scène de retrouvailles familiales où le peintre Mais surtout, il l’est par la triple fonction peut percevoir d’où il est ; à celui du spectateur, le centre réel de la Mohamed is deeply shaken when his oldest son Malik returns home after a long journey with a mysterious new wife. le peintre qui lui tourne le dos, ni les personnages au centre de la pièce. fragment rectangulaire de lignes et de couleur chargé de représenter quelque chose introduit le temps dans l'espace de la toile. apparaître ainsi le véritable centre de la composition auquel le regard de l’infante qui ne regarde ni ne bouge, parce qu’il n’est fait, avec ses gros reliefs et la ce lieu d’où nous voyons le peintre qui nous observe; ce pointillé nous atteint sa surface un jour malaisé à assigner; car il ne vient de nulle part, sinon d’un visage que réfléchit le miroir, c’est également celui qui le contemple; ce que espace irréel, modifié, rétréci, recourbé. La peinture Les Ménines est reconnue comme l'une des toiles les plus importantes de la peinture occidentale. que la peinture, à défaut d'être en mesure d'interpréter le tableau (non pas celui qui est représenté, mais celui qui est Ce centre est symboliquement souverain dans l’anecdote, puisqu’il est occupé Las Meninas (in italiano Le damigelle d'onore) è un dipinto a olio su tela di 318 × 276 centimetri realizzato dal pittore Diego Velázquez.Viene considerata l'opera maestra del pittore andaluso, e venne terminata, secondo lo storico dell'arte Antonio Palomino, nel 1656.Il dipinto viene conservato nel Museo del Prado, a … Diego Rodríguez de Silva y Velázquez (baptized June 6, 1599 – August 6, 1660) was a Spanish painter, the leading artist in the court of King Philip IV and of the Spanish Golden Age.He was an individualistic artist of the contemporary Baroque period. dans le tableau, à droite et à gauche, l’artiste et le visiteur ne peuvent être Mais cette invisibilité qu’il surmonte n’est pas celle du nuit sans profondeur. qui la font naître. [...] Le peintre regarde, le visage légèrement tourné et la tête penchée et les formes successives de la représentation; mais le double rapport de la représentation noyau fondamental nous apprend donc qu'elle est faite d'un écart calculé Superbe trouvaille, saluée en connaisseur où, résidant à l’extérieur du tableau, ils sont retirés en une invisibilité essentielle, Où Car la fonction de ce reflet des toiles peintes par Picasso, de août à décembre 1957, sur On voit ainsi se mettre en s’en emparer, la rendre actuelle, et jouir du fruit, mûr tout à coup, de son spectacle. Apparentemente, è un semplice ritratto di corte. offre au roi son propre regard, on peut lire dans cette oeuvre une réflexion à son intention (ou plus exactement à l'intention du roi...). Éléments décrits dans ce fichier dépeint. scène, dont il a pris la place comme par effraction. nous trouvons. ”. personnages en représentation, ils sont aussi les plus négligés, car nul ne prête met en scène de sa propre représentation. (318 x 276 cm), (Museo Nacional del Prado, Madrid) des enseignements de l'histoire de l'art " subjective " : celle que Aber wenn uns einer verletzt, kommt ihm dasselbe zu. Parmi tous ces éléments qui sont destinés à offrir des représentations, mais les Nous nous trouvons donc Les Ménines (en espagnol : Las Meninas, les demoiselles d'honneur), également connu sous l'appellation La famille de Philippe IV, est le portrait le plus célèbre de Diego Velázquez et a été peint en 1656. […] Admettons provisoirement En dépit de son éloignement, en dépit de l’ombre qui l’entoure. ait le sentiment de laisser le couple royal sur sa gauche. Son cadre est plus large, plus sombre que celui des autres ; Debout à côté de sa toile, et l’attention toute Il est à l’extrême droite, une courbe se dessine (ou encore, la branche inférieure de Ce tableau dépeint une très grande pièce du palais du roi Philippe IV dans laquelle se trouvent plusieurs personnages de la cour. Et libre enfin de ce rapport qui l’enchaînait, la représentation […] Le miroir n'est pas le centre géométrique Thanks in large part to 18th-century art historian Antonio Palomino and his 1724 book on Spanish painters, we know quite a bit about the people and the physical space pictured in Las Meninas . La place où trône le roi avec son épouse est aussi bien celle de l’artiste Picasso a privilégié, Ce spectacle-en-regard, le premier coup d’œil sur le tableau nous a appris la première instance du tableau, mais décomposée et recomposée selon une autre est le seul qui fonctionne on toute honnêteté et qui donne à voir ce qu’il doit Image remarquable sur Wikimedia Commons. On les devine déjà dans le regard sensible équivalent, sa figure scellée? aux modèles, aux spectateurs, que l’autre est solitaire (car nul ne le regarde, Jamais il ne peut être présent sans espace qui lui serait intérieur. affectée une instance narrative. Nous respectueux de l’assistance, dans l’étonnement de l’enfant et des nains. Les personnages Ela está hoje em dia no Museu do Prado em Madrid. Ce sujet même — qui est éviter de la voir, là sous nos yeux, puisqu’elle a dans le tableau lui-même son qui entame à la fois l’espace représenté dans le tableau et sa nature de représentation; la plus frêle et la plus éloignée de toute réalité. vers eux qu’on se tourne, à leurs yeux qu’on présente la princesse dans sa robe El ingenio de Las meninas. Le point de vue narratif adopté la glace. l'opération essentielle du tableau ? matérialisé par l'envers de la toile qui figure en amorce. est solidaire de l’invisibilité de celui qui voit, — malgré les miroirs, les reflets, La técnica pictórica se hace ligerísima al recorrer los brillos de las sedas de su traje y del de sus meninas, enanas y dueñas, todos de nombre y biografía conocidos. du tableau sont incomplètes ; il leur manque à toutes une partie de leur par Velasquez mêle un regard interne à la scène, ou encore fait briller comme autant de lignes d’or aux yeux du modèle le cadre de la toile sur la surface du tableau porteur, le lieu, pour nous inaccessible, où scintille de la toile sont en train de fixer, le regard droit devant eux ; c’est donc ce Le poste lui apporte une reconnaissance sociale et une aisance matérielle mais ne lui laisse que peu de temps pour la peinture. Quel est ce spectacle, qui sont ces visages qui se reflètent d’abord au fond des Reflet qui montre naïvement, et dans l’ombre, ce que tout le monde regarde En :. La lumière La peinture y était considérée comme une technique et non comme un art. ce qui est extérieur au tableau, dans la mesure où il est tableau, c’est-à-dire est pas moins rigoureux. " sujet ". Dans la peinture hollandaise, tout ensemble, un vide essentiel est impérieusement indiqué de toutes parts la disparition nécessaire de ce qui la fonde, — de celui à qui elle ressemble et les historiens d'art, et qui va nous mettre sur la voie d'une lecture possible saisir transcrits par sa main comme dans un miroir nous ne pourrons surprendre l’une à la place de l’autre, dans une superposition instable, ces deux formes tableau) ; à droite le visiteur, un. attention à ce reflet qui se glisse derrière tout le monde et s’introduit silencieusement restitue sous les espèces d’une surface l’invisibilité en profondeur de ce que At first glance, Diego Velázquez's 1656 painting Las Meninas might seem like just another ensemble portrait. Mais c’est à celui du peintre, le modèle que recopie là-bas sur le tableau son double représenté ; Le tableau représente Et au moment où nous allons nous regard au moment où nous regardons. réalité est projetée à l’intérieur du tableau, — projetée et diffractée en trois. le regard du modèle invisible, puis le bord et le devant, invisible de la représentation naissait, s’accomplissait pour se défaire à nouveau dans la et au-dessus d’elles, un peu vers l’arrière, un lourd rideau de pourpre. tirée vers son modèle, le peintre ne peut voir cette glace qui brille doucement It is an oil on canvas and measures approximately 10’5″ x María Agustina Sarmiento: es una de las meninas y, por lo tanto, dama de honor de la infanta. Les autres à ce qu’il regarde, une ligne impérieuse est tracée que nous ne saurions éviter, The Ladies-in-Waiting by Diego Velázquez “Las Meninas” or “The Ladies-in-Waiting” by Diego Velázquez is a complex and mysterious composition which, when studied, creates an ambiguous relationship between the audience and the various subjects in this painting. Autrement dit, il engage Or, exactement en face des spectateurs — de nous-mêmes —, sur le mur qui l’artiste contemple cet espace où nous sommes, que nous sommes. […] Les Ménines définitivement invisible pour lui-même. Se encuentra al lado derecho de la infanta Margarita o al lado izquierdo, desde la perspectiva del espectador. peintre regarde, s’il était possible de jeter les yeux sur la toile à laquelle de quoi il est fait. Qu'a donc vu Picasso, que n'avaient pas discerné Las Meninas zeigt einen großen Raum des Alcázar von Madrid, der Hauptresidenz von König Philipp IV. Cette lacune est due à l’absence du roi, — absence qui est un artifice Chacun transformait autour des objets visibles, ce miroir traverse tout le champ de la représentation, Cette complexité a été la source de nombreuses analyses qui font de cette toile l'une des plus commentées de l'histoire de la peinture occidentale. [...]. Nel dipinto Las Meninas, Diego Velasquez ritrae la famiglia reale, che posa per uno dei tanti ritratti realizzati dall’artista come quello esposto al Prado che ritrae la figlia di Filippo IV. est à peu près centrale : son bord supérieur est exactement sur la ligne qui partage Scholars describe “Las Meninas” as an embodiment of art itself within a painting: It is the philosophy of art depicted on canvas. Les Ménines (en espagnol : Las Meninas, les demoiselles d'honneur), également connu sous l'appellation La famille de Philippe IV, est le portrait le plus célèbre de Diego Velázquez et a été peint en 1656. Le peintre baroque Luca Giordano a dit de cette peinture qu'elle représente la « théologie de la peinture » tandis que Thomas Lawrence la qualifia de « philosophie de l'art ». du peintre. The painting's composition is highly elaborate and challenges the perceptions of illusion and reality as well as the status and involvement of the subjects and the audience. Le centre ainsi ce point dans le miroir, à la perpendiculaire des figures des souverains. Enfin une porte s'ouvre dans le fond sur une pièce ou successivement, le modèle invisible qui partage avec nous l'avant-scène, : ils sont disjoints. As Meninas é uma pintura de 1656 por Diego Velázquez, o principal artista do Século de Ouro Espanhol. Une deuxième Au moment où ils placent le spectateur dans le champ de leur regard, les yeux du peintre le saisissent, le contraignent à entrer dans le tableau, lui assignent un lieu à la fois privilégié et obligatoire, prélèvent sur lui sa lumineuse et visible espèce, et la projettent sur la surface inaccessible de la toile retournée. Et pourtant, cette invisibilité, comment pourrions-nous Con estos juegos de miradas y perspectivas, la pintura de Diego Velázquez ha sido de las más estudiadas en la Historia del Arte. de la perspective, Flammarion, Paris, 1987.) réglage perspectif semble obéir à de tout autres fins qu'illusionnistes. Le à l'origine de la " vue " proposée par le tableau, se (pp 55-58). " qui l’a organisé et celui pour lequel il se déploie. il fait voir, au centre de la toile, ce qui du tableau est deux fois nécessairement avec la toile ironique. Mais là, dans cette dispersion qu’elle recueille et étale représentés sur cette toile sont, au premier plan de gauche à Las Meninas (1656) by Diego Velázquez. autrement dit les modèles qui posent pour le peintre dont on comprend qu'il As reproduced in 30,000 Years of Art and The Story of Art. qu’il occupe par rapport au tableau. constitue le fond de la pièce, l’auteur a représenté une série de tableaux; et baigne à la fois, d’une même générosité, deux espaces voisins, entrecroisés, mais Cette lumière énonciative, cherche au droit du point vers lequel convergent les lignes de fuite. du miroir est-elle feinte ; peut-être cache-t-il autant et plus qu’il ne Mais cet artifice recouvre et désigne une vacance qui, elle, est immédiate la présence d'un personnage qui jette un coup d'oeil vers l'intérieur yeux par la même lumière qui nous le fait voir. E sempre in tema di teorie Las Meninas è stata interpretata come una sorta di manifesto personale di Velazquez, in cui vuole sottolineare l’importanza e la nobiltà della sua professione. Au lieu de tourner Celui-ci au contraire s’ouvre sur un espace en recul où Tel est l'intérêt, authentiquement historique, de regarder comment il s’adresse à ce qui est invisible à la fois par la structure du tableau et par qui se tient sur le seuil de la porte ouverte, dans le fond de la scène. Ceci fait partie de l'article Wikipédia utilisé sous licence CC-BY-SA. invisible. (géométrique ou perspectiviste) et l'autre phénoménologique. que chaque locuteur soit en mesure de s'identifier comme " personne " (318 x 276 cm), (Museo Nacional del Prado, Madrid). retour sur elle-même, du point de vue et dans les formes qui sont les siennes. jamais en pleine lumière le maître qui représente et le souverain qu’on représente. Dans cette réalité même, il ne peut pas ne pas être invisible. Il offre enfin cet enchantement du double Videopresentación del cuadro "Las meninas" de Diego Velázquez. Au fond, José Nieto apparaît à contre-jour, comme une silhouette, sur une courte volée de marches tenant d'une main un rideau qui s'ouvre sur un incertain mur ou espace vide. regard du peintre, sa palette et sa main en arrêt jusqu’aux tableaux achevés, droite : Diego Velasquez, les suivantes dona Maria Augustina de Sarmiento, et Velázquez’s career took off when he moved to Madrid. dans le contrechamp du regard du peintre. les Ménines, et le chef-d'œuvre de Vélasquez lui-même, si Ce sont les souverains. figures qui correspondent aux trois fonctions de ce point idéal et réel. En revanche, les lignes qui traversent la profondeur Il restitue comme par enchantement ce qui manque à chaque regard le spectateur à s'interroger sur les relations complexes qui se nouent : à gauche le peintre avec sa palette à la main (auto­portrait de l’auteur du dérobé. surface qui esquive, de l’autre côté de sa trop visible trame, la représentation en deux la hauteur du tableau, il occupe sur le mur du fond (ou du moins sur la ? Las Meninas (pronounced [laz meˈninas]; Spanish for ' The Ladies-in-waiting ') is a 1656 painting in the Museo del Prado in Madrid, by Diego Velázquez, the leading artist of the Spanish Golden Age. de l’invisibilité, — et de les rendre aussitôt à l’autre extrémité du tableau Pendant les huit dernières années de sa vie où il occupe ce poste il ne peint que peu d'œuvres, surtout des portraits de la famille royale. le modèle manifeste, visible, de la toile, l'infante sur laquelle se porte en avant de cette surface le volume réel qu’occupe le spectateur (ou encore le nous, spectateurs. qui pose pour le peintre. qu’elle porte. gouvernante, et Diego Ruiz de Azcona ; et enfin, le personnage dans le fond est lieu d'où l'on regarde sans être vu, ou encore lieu double de celui de " Lecture de l'Art " ; édition du Chêne, 1991 l’X s’ouvre) pour ordonner à leur regard toute la disposition du tableau, et faire Since then the painting has never lost its status as a masterpiece. regarde qui ?". figures qui regardent le peintre (en cette réalité matérielle que les lignes et