Parti Dates Idéologie Remarque Parti de la vie roumaine (PVR) ... 1921-1989 Parti communiste de Roumanie (1921-1948) Parti … Omar el-Béchir, arrivé au pouvoir en 1989 par un coup d'Etat soutenu par les islamistes, a dirigé le Soudan d'une main de fer pendant 30 ans. Les dirigeants du nouveau parti d’opposition du Nouvel Avenir, qui était arrivé en troisième position aux dernières élections nationales, se sont engagés à poursuivre leur action en faveur d’un changement politique en Thaïlande, malgré la décision de la justice nationale de dissoudre leur parti et de leur interdire toute action politique durant dix ans. On n'y retrouve que trois membres sortants, André Barjonet, Christian Guerche et Bernard Ravenel, tous les autres étant des nouveaux : Huguette Bouchardeau, Jean-Claude Chamblain, François Desmoulins, Serge Depaquit, Pascal Gollet, Maguy Guillien, Victor Leduc, Hervé Letocqmin, Michel Mousel, Geneviève Petiot, Gilbert Pallier, Charles Piaget, Pierre Régnier, René Schulbaum, Alain Tlemcen, François Turquan et Lucien Varague. La dernière modification de cette page a été faite le 13 novembre 2020 à 14:14. Le PSU, qui comprend dès son origine des minorités se revendiquant d'un marxisme révolutionnaire, du luxemburgisme ou du trotskisme, évolue en s'amoindrissant, surtout après mai 1968, pour devenir un parti contestataire et auto-gestionnaire se situant hors du champ parlementaire. Ainsi cet organisme aurait compté six trotskistes : Jean Rous (« droitier »), Robert Chéramy (lambertiste)[9], tous deux venant du PSA ; Roland Filiâtre, Yvan Craipeau, et Pierre Naville, l'un des principaux dirigeants trotskistes avant-guerre (« droitiers »)[3]. Cet accent n… Le congrès se tient après que le PSU a présenté la candidature d'Huguette Bouchardeau à l'élection présidentielle qui a vu le succès de François Mitterrand. Les membres de la Direction politique nationale se voient tous confier le suivi ou la responsabilité d'un secteur ou d'un type de dossier. The Monetary Committee provided for in paragraph 1 shall be dissolved. C'est la motion portée par, La motion C, qui compte 18 élus. Le comité politique national est composé de : À partir de ce congrès, l'architecture de la direction nationale évolue. C'est celle de, La motion E, qui a elle aussi 6 élus, et dont le principal animateur est, 30 représentants de la majorité, rassemblés autour d', 25 représentants de la minorité, menée par, 47 membres de la tendance majoritaire, menée par Michel Rocard, parmi lesquels on trouve. Ces variations, toutefois, résultent largement du scrutin et des alliances, puisque le PSU obtient 3,9 % en 1968 et environ 2 % en 1973. Un courant maoïste, qui s'était affirmé en 1970 en préconisant l'alliance avec le Parti communiste marxiste-léniniste de France (PCMLF), obtient 12 % des mandats[15]. On relève toutefois un nombre important d'anciens députés de la SFIO, dont la sécession du groupe parlementaire est à la source du PSA/PSU : Édouard Depreux lui-même, Alain Savary et Robert Verdier, Daniel Mayer, Guy Desson, François Tanguy-Prigent, André Philip, Charles Lussy, Jean Binot, Raymond Badiou (père du philosophe Alain Badiou qui appartint lui-même un temps au PSU) et André Hauriou (fils du doyen Maurice Hauriou, et alors vice-président de la Ligue des droits de l'homme) [10]. 2° dans le cas où un parti applique une modification satutaire refusée par le Ministre de l’Intérieur. Le comité monétaire prévu au paragraphe 1 est dissous. Elles sont capables de détecter picomolar concentration-quest comme un comprimé de Tylenol, They are capable of detecting picomolar concentrations-that's like one Tylenol tablet, Les polymères électriquement conducteurs peuvent également être, The electrically conductive polymers can also be, Après la reddition du Japon, les Pacific Coast Militia Rangers furent, Having completed their duties, the RAP Forum was, Le cercle artistique L'Essor a été officiellement, The artistic circle l'Essor was officially. Enfin, la tendance mendésiste, qui représente un bloc cohérent et réformiste, s'oppose au dogme marxiste de la lutte des classes et refuse l'appropriation collective des moyens de production, prônant un équilibre entre les secteurs privé et public[4] : dès le départ, le PSU apparaît comme regroupant des tendances très diverses, voire antagonistes, qui ne se rejoignent finalement que dans l'anti-gaullisme et l'anti-stalinisme. sept membres du courant 4, dont Jean-Claude Le Scornet, pour les départements plutôt UGS, signalons la Moselle ou la Meurthe-et-Moselle (, enfin, il y aurait des départements mixtes où les leaders locaux se sont impliqués en faveur de l’union et donc de l’efficacité, comme ce fut le cas en Haute Garonne grâce à l’action conjointe de. Parti né le 3 avril 1960, de la fusion du Parti socialiste autonome (PSA, dissidents SFIO), de l'Union de la gauche socialiste (UGS) et du groupe Tribune du communisme. Jean Arthuys est responsable du service d'ordre. Une troisième forme ce qui devient la Gauche Ouvrière et Paysanne puis l'Organisation communiste des travailleurs (créée en 1976), entre 1972 et 1974[15]. Le Congrès de la Courneuve (janvier 1977) voit s'affronter deux tendances, l'une, menée par le secrétaire du parti, Michel Mousel, préconisant la reconduction de listes communes de gauche pour les municipales de mars 1977 (le PSU ayant obtenu plusieurs élus aux précédentes municipales), tandis que l'autre, au sein de laquelle les militants de l'AMR sont particulièrement actifs, préconise une alliance avec le « groupe carrefour » de la LCR[19] (Robi Morder, François Morvan), voire avec l'Organisation communiste des travailleurs (le courant « mouvementiste »)[20]. Édouard Depreux, Souvenirs d'un militant, Fayard 1972, Robert Chéramy est par la suite l'un des principaux dirigeants, au titre de la majorité « autonomie », de la, Ibidem, page 106. “Le Parti du Congrès national est dissous” et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée “démantèlement du régime du 30 juin 1989” adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. Il permet de doter le parti d'une majorité. “Le Parti du Congrès national est dissous” et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée “démantèlement du régime du 30 juin 1989” adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. Enfin, une tendance « mouvementiste » obtient 20 % à Lille, et 16 % à Toulouse en décembre 1972[15] : elle s'organise autour de la Gauche ouvrière et paysanne (GOP) de Marc Heurgon, Alain Lipietz, Gustave Massiah, etc., avant de s'éclater en deux (Pour le communisme et, en 1974, le Parti d'unité populaire, qui créent la Gauche ouvrière prolétarienne)[15]. La direction politique nationale compte 70 membres, dont : Les courants 1 et 5 décident de ne pas participer au bureau politique, qui ne compte que 14 membres : Jacques Arnol, Jeannine Blaise, Serge Depaquit, Marie-Madeleine Dughera, Monique Gresset, Jean-François Laval, Jean-Pierre Malplat (courant 3), Bernard Chaouat, Dominique Ducrest, Arnaud Massip, Jacques Laïk, Jacques Salvator (courant 2), Jean-Claude Le Scornet et Laniq Le Disloquer (courant 4). C'est un secrétariat pluraliste de quatre membres, dont deux issues de la motion B (Edouard Depreux, secrétaire national, et Jean Verlhac) et deux de la motion C (Jean Poperen et Roland Florian). Huit (08) mois après sa chute, le parti de Oumar El Béchir vient d’être dissous par le gouvernement de transition soudanais, son régime démantelé. Le PSU double son score électoral aux législatives de mars 1967, obtenant quatre députés : Guy Desson, Yves Le Foll, Roger Prat et Pierre Mendès France, élu à Grenoble où le PSU s'était implanté lors des municipales de mars 1965[4]. “Le Parti du Congrès national est dissous” et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée “démantèlement du régime du 30 juin 1989” adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. Le Parti socialiste unifié (PSU) était un parti politique français fondé le 3 avril 1960. Le PSU s'est notamment appuyé sur la scission (et la laïcisation) de la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC) en Confédération française démocratique du travail (CFDT) et a défendu, dans les années 1970, l'expérience autogestionnaire, soutenant en particulier les travailleurs de l'usine de Lip. Quelques mois plus tard (octobre), une fraction importante du PSU participe à une opération politique menée par le Parti socialiste (PS), les « Assises du socialisme » ayant pour but d'unifier les mouvements socialistes et sociaux-démocrates au sein du PS, derrière Mitterrand. © 2013-2020 Reverso Technologies Inc. All rights reserved. "Le Parti du Congrès national est dissous" et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée "démantèlement du régime du 30 juin 1989" adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. (Photo d'archives) Cette page est une liste des partis politiques légalement reconnus en Roumanie Partis politiques contemporains Partis ... Partis dissous Depuis 1989. Une nouvelle Constitution a été adoptée en 1980. C'est aussi en 1963 que Depreux et Rocard fixent une nouvelle ligne au parti, en l'adossant aux « couches nouvelles » (techniciens et cadres)[3]. Jean Arthuys adhéra plus tardivement au PS à Savigny-sur-Orge où il fut un temps conseiller municipal. La fédération de l'Eure, mendésiste, est dissoute[4]. Le PSU se dote d'une publication hebdomadaire : Tribune socialiste. Une forte minorité apparaît, animée par Pierre Bérégovoy. Le parcours politique de ces hommes – seule une femme siège dans cette instance, Mireille Osmin, issue de la SFIO et du PSA – est très divers. Bernard Ravenel, chargé du secteur « éducation » est associé au bureau national. Ce syndicat étudiant participa en 1980 à la création de l'UNEF-ID. C'est ainsi que la junte militaire s'est retrouvée détentrice du pouvoir absolu sous la direction du général Augusto Pinochet Ugarte. Le Parlement dissous, le pays en route pour une 4e élection en deux ans Les élus israéliens avaient jusqu'à mardi 23H59 locales (21H59 GMT) pour adopter un budget.© Alex KOLOMIENSKY / POOL / AFP Le 24 mars 1983, elle entre dans le gouvernement Mauroy. Section française de l'Internationale ouvrière, Centre d'études, de recherches et d'éducation socialiste, Confédération française des travailleurs chrétiens, Confédération française démocratique du travail, appropriation collective des moyens de production, Union des clubs pour le renouveau de la gauche, Fédération de la gauche démocrate et socialiste, Parti communiste marxiste-léniniste de France, Convention pour une alternative progressiste, inspecteur général de l'Éducation nationale, Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, Le parti de Pierre Mendès France : du parti radical au PSU, International Institute of Social History, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Parti_socialiste_unifié_(France)&oldid=176548341, Portail:Politique française/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, 46 membres représentant la motion majoritaire, menée par, 9 membres représentant la motion minoritaire, soutenue par les proches de, La motion B, qui compte 26 élus. Au sein de la direction politique nationale, on trouve encore Claude Bourdet, Yvan Craipeau, Michel Fiant... - Congrès de Saint-Étienne (janvier 1979), La Direction politique nationale est composée en fonction du vote sur les deux textes généraux, mais aussi sur l'amendement au texte « majoritaire » présenté par les fédérations de l'Essonne et des Hauts-de-Seine, ainsi que de militants parisiens. Le PSA et l’UGS sont implantés sur l’ensemble du territoire et cette composante se retrouve dans les origines géographiques des membres du Comité politique national. Marc Heurgon s'appuie sur des chiffres précis pour parler de « fable du parti de 30 000 membres ». "Aucun symbole du régime ou du parti n'est autorisé à s'engager dans quelque activité politique que ce soit pendant dix ans", ajoute le texte. Mais à cet organe officiel, s'ajoute de fait durant quelques années, un autre hebdomadaire, France Observateur[13], dont la direction et la rédaction comprennent plusieurs membres du PSU, et non des moindres : Gilles Martinet, ancien secrétaire général de l'UGS, plus tard journaliste à L'Observateur ; le chrétien de gauche Claude Bourdet, cofondateur ; Georges Suffert ; Serge Mallet ; Pierre Belleville ; et Pierre Naville[14]. Le Amtmann Circle a été dissous en 1989. These examples may contain rude words based on your search. Présidé par Laurent Schwartz, le Congrès de 1960 entérine la fusion de trois formations politiques : Ce parti tente tout d'abord d'occuper l'espace politique entre la SFIO et le PCF, se prononçant dès sa création pour une VIe République[2]. Le congrès se déroule à nouveau dans un climat de crise interne. Please report examples to be edited or not to be displayed. Mis en minorité au Congrès d'Orléans (avril 1970) de l'UNEF, les ESU parviennent à garder la présidence en faisant alliance avec les trotskystes de l'AJS. Le PSU soutient alors les étudiants et prône l'autogestion. Elle est composée de. Un pari : se positionner entre la SFIO et le PCF, Composition des instances dirigeantes (1960-1990), Nombre d'adhérents et origines géographiques, Relations avec la gauche au pouvoir (1981-1990), Chronologie et résultats électoraux détaillés, « Le parti devant la perspective de la gauche unie », « Le 3 avril 1960 marquera une date dans la vie du socialisme en France et dans l'histoire du socialisme international ». Il s'est dissous en novembre 1989. La réaction du parti de l’ancien Président soudanais ne s’est pas fait attendre. Le PSU a notamment comme premier secrétaire, de 1960 à 1967, Édouard Depreux, puis Michel Rocard, de 1967 à 1973. C'est ainsi que la junte militaire s'est retrouvée détentrice du pouvoir absolu sous la direction du général Augusto Pinochet Ugarte. Un bureau national de 20 membres est élu. Aux élections présidentielles de mai 1974, la gauche du parti soutient la candidature de Charles Piaget, le syndicaliste CFDT de Lip, mais Rocard réussi à obtenir une majorité de soutien pour la candidature unitaire de Mitterrand contre Giscard. Lors de ce scrutin, l’Union nationale (36 %) a obtenu moins de votes que le Parti libéral (39 %), mais remporte la majorité absolue des sièges à l’Assemblée législative. Le Parlement est dissous en 1993, ce qui donne lieu à de nouvelles élections législatives. Il a dénoncé sur sa page Facebook, sa … Une nouvelle Constitution a été adoptée en 1980. Crise au Soudan - Le parti de Béchir dissous, son régime "démantelé" Home > Toute l'actualité en direct > Belgique et monde - 29-11-2019 à 01:28 - Belga Lecture 2 min. C'est ce moment que choisit l'Alliance marxiste révolutionnaire (AMR), de tendance pabliste et libertaire, forte de 250 militants[17], pour fusionner dans le PSU, Gilbert Marquis ayant entamé des pourparlers dès la fin 1973[17]. - Dissous en 1989 lors de son 18e et dernier congrès, il fusionne le 26 nov. 1989 avec la Nouvelle gauche pour … In 1863, the Royal Engineers were disbanded and Moody returned to England. 3° dans le cas où, par son activité générale ou ses prises de positions publiques, un parti a gravement méconnu les obligations qui lui incombent en vertu de l’article 3 de la Loi n°89-36 du 12 octobre 1989 Derrière Edouard Depreux, secrétaire national, on trouve Gilles Martinet, secrétaire national adjoint, Jean Arthuys, trésorier, Pierre Bérégovoy, Marc Heurgon, Harris Puisais et Georges Servet. « Aucun symbole du régime ou du parti n’est autorisé à s’engager dans quelque activité politique que ce soit pendant dix ans », ajoute le texte. Huguette Bouchardeau est élue secrétaire nationale. The party was formally dissolved in March of 2002. C'est ainsi que la junte militaire s'est retrouvée détentrice du pouvoir absolu sous la direction du général Augusto Pinochet Ugarte. Serge Depaquit devient secrétaire national. Tous les autres sont des nouveaux venus : André Barthélémy, Manuel Bridier, Gérard Carles, Robert Chapuis, Claude Dubois, Michel Fontes, Daniel Frachon, trésorier, Georges Gontcharoff, Christian Guerche (directeur de Tribune Socialiste), Jacques Malterre, Pierre Marchi, Jean-François Pertus, Pierre Ringuet et Jean-Marie Vincent. Tudi Kernalegenn (Rennes 1, CRAPE) et François Prigent (Rennes 2, CERHIO). Pierre Mendès-France rend alors publique sa décision de quitter le parti, qu'il avait reportée après les élections de juin 1968 : il n'accepte plus l’orientation gauchiste du PSU[4]. Les trotskistes Marcel Bleibtreu et Michel Lequenne obtiennent un droit de tendance au sein du parti, continuant la publication de la Tribune du marxisme avec Edgar Morin, futur penseur de la « complexité » [3]. Le Amtmann Circle a été dissous en 1989. "Le Parti du Congrès national est dissous" et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée "démantèlement du régime du 30 juin 1989", adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. Celui-ci obtient 2,10 % des voix au premier tour[21]. Après les élections générales de mars 1973, le Congrès bicaméral avait été dissous à la suite du coup d'Etat militaire en septembre de la même année. Il comprend également d'anciens pivertistes, dont certains avaient milité au Parti socialiste ouvrier et paysan (PSOP) sous le Front populaire (1936-1938) (Colette Audry, etc.). Le bureau national constitué en avril 1960[5] respecte la parité des fondateurs : Au comité politique national : 2° dans le cas où un parti applique une modification satutaire refusée par le Ministre de l’Intérieur. On trouve par ailleurs au Comité politique national Georges Gontcharoff, Jacques Kergoat, Marcel Pennetier, Pierre Stibbe, François Tanguy-Prigent, Jean Verlhac, Lucien Weitz... - Congrès de Paris (Maison des métallos, juin 1967). Avec la constitution de ce nouvel axe à gauche, contemporain du choc pétrolier, le déclin du PSU est alors entamé, d'autant plus que Denis Berger, fondateur de La Voix communiste, part avec environ 200 militants[17] proches de la tendance révolutionnaire (Jean-René Chauvin, etc.) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jacques Kergoat, qui avait été secrétaire général du PSU parisien, et le philosophe Jean-Marie Vincent rejoignent alors la Ligue communiste révolutionnaire[15], tandis que Manuel Bridier rejoint Révolution ![15]. Ainsi alors qu'Édouard Depreux annonçait 20 000 membres issus du Pari socialiste autonome, l'apport réel de ceux-ci « [devait] tourner autour de 9 000 ». Il était le membre-dirigeant du Front national de la République démocratique allemande, coalition des partis autorisés par le régime est-allemand. Jeudi, le Conseil souverain et le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok ont adopté une loi selon laquelle « le Parti du Congrès national (NCP) est dissous » et tous ses biens sont confisqués, conformément aux revendications du mouvement de contestation qui a obtenu en avril la destitution d’Omar el-Béchir par l’armée. En effet, le Parti libéral ne s’est pas opposé à la conscription et a accepté la réforme constitutionnelle qui allait accorder au fédéral les pleins pouvoirs en matière d’assurance-chômage. 5 motions différentes se présentent pour l'élection de la Direction politique nationale, qui est ainsi composée de. Le PSU se scinde en novembre 1989, une partie de ses membres fusionne avec la Nouvelle gauche issue des comités de soutien à Pierre Juquin pour fonder l'Alternative rouge et verte (AREV), qui fusionne une nouvelle fois en 1998 avec une minorité de la Convention pour une alternative progressiste (CAP) pour devenir « les Alternatifs », tandis qu'une autre partie rejoint Les Verts où sont déjà entrés de nombreux anciens animateurs de la GOP (Gauche ouvrière et paysanne). Alain Savary s'en va, créant l'Union des clubs pour le renouveau de la gauche, qui s'allie avec la FGDS de Mitterrand, ainsi que Charles Hernu[3]. Fraudes massives : Biden doit être jeté en prison, et le Parti démocrate dissous ! Depuis le dernier congrès, plusieurs départs de personnalités de premier plan ont été enregistrés : Alain Savary, qui a créé avec ses proches, mais aussi un groupe de mendésistes autour de Pierre Bérégovoy l'Union des clubs pour le renouveau de la gauche, puis Jean Poperen et les siens, qui crée l'Union des groupes et clubs socialistes. En tant que seul grand parti autorisé, il joua en Allemagne de l'Est le rôle d'un parti unique, possédant le monopole de l'action politique au sein de ce pays. - Dissous en 1989 lors de son 18e et dernier congrès, il fusionne le 26 nov. 1989 avec la Nouvelle gauche pour former l'Alternative rouge et verte. La motion E n'est représentée que par deux responsables adjoints de commission (Marcel Pennetier, adjoint de Debarge, et Bleibtreu, adjoint d'Arthuys). Ce congrès est anticipé par rapport au calendrier statutaire. Huit (08) mois après sa chute, le parti de Oumar El Béchir vient d’être dissous par le gouvernement de transition soudanais, son régime démantelé. Jean Bastide, membre du comité politique national, quitte le parti dès 1962 et retourne à la SFIO. Crise au Soudan - Le parti de Béchir dissous, son régime "démantelé" Home > Toute l'actualité en direct > Belgique et monde - 29-11-2019 à 01:28 - Belga Lecture 2 min. Les luttes internes font fuir la base, un tiers des adhérents quittant le PSU entre 1963 et 1965[3]. “Le Parti du Congrès national est dissous” et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée “démantèlement du régime du 30 juin 1989” adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. Quant à. Tudi Kernalegenn, François Prigent, Gilles Richard, Jacqueline Sainclivier (dir.). The Amtmann Circle was dissolved in 1989. Omar el-Béchir, arrivé au pouvoir en 1989 par un coup d'Etat soutenu par les islamistes, a dirigé le Soudan d'une main de fer pendant 30 ans. "Le Parti du Congrès national est dissous" et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée "démantèlement du régime du 30 juin 1989", adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. Après l'indépendance de l'Ukraine en 1991, le parti fut interdit à compter du 30 août 1991. Exact: 439. Lors du Congrès de 1963, les lambertistes proposent leur mention, qui reçoit un score négligeable, tandis que Marcel Bleibtreu, allié à Marcel Pennetier (ex-PCI), présente une motion qui reçoit 10 % des mandats[3]. Un secrétariat national de cinq membres (Barjonet, Gollet, Leduc, Mousel et Piaget) est élu. Paris (Maison des métallurgistes ) : 24 novembre 1989. Les racines du mouvement de protestation sont dans une décision de février de la Cour constitutionnelle ordonnant la dissolution du Future Forward Party en raison du prêt. Le CPN est ainsi constitué de : Un bureau national homogène de 9 membres est désigné. Suites aux événements d'octobre 1988, une réforme constitutionnelle en 1989 a ouvert le système politique vers le multipartisme. L'année suivante, il se présente en tant que second (Premier ministrable) avec Gaston Defferre (SFIO) contre Michel Rocard pour le PSU : la rupture avec le mendésisme est définitive[4]. Le Parti communiste (Komunistychna Partia Ukraïny - KPU) fut le parti unique en Ukraine, comme en URSS, jusqu'en 1989. Cette initiative a été soutenue par l'Institut Édouard Depreux, l'Association des Amis de Victor et Paule Fay, ainsi que par 540 anciens militants du PSU. Conservent leur mandat Robert Chapuis, secrétaire national adjoint, Christian Guerche, Bernard Jaumont et Basile Volokhine, tandis qu'entre au bureau 12 nouveaux membres : Jean Le Garrec, trésorier, André Barjonet, Pierre Bourguignon, Georges Constantin, Pascal Dorival, Gérard Féran, responsable de Tribune Socialiste, Jean Lafrache, Daniel Lenegre, Alain Rannou, Henri Saigre, François Soulage et, pour la première fois, une femme, Irène Charamande, chargée justement du secteur « femmes ». Le bureau politique compte 17 membres, dont les six membres du secrétariat national (Huguette Bouchardeau, réélue secrétaire nationale, Serge Depaquit, Bernard Ravenel, Jacques Arnol, Jean-Jacques Mabila, Jacques Salvator), ainsi que Christian Caroz, Monique Gresset, Jacques Laïk, Dominique Lambert, Marie-Pascale Lauret, Victor Leduc, Jean-Pierre Malplat, Arnaud Massip, Marie Relandeau, Arthur Riedacker et M.Sonder). La PNH est considéré comme un héritier direct du Parti national, fondé en 1914 et convergé 1934 Parti dans le Royaume. Dans son ouvrage, Histoire du PSU, Marc Heurgon dresse en effet une liste (non exhaustive) des départements dont la sensibilité globale était plutôt PSA ou plutôt UGS et ceux qu’il qualifie de « mixtes », c'est-à-dire que la volonté d’union y a été plus forte que la « marque d’origine ». Le décompte officiel des voix aux élections législatives mêle en 1981 le PSU avec les autres partis d'extrême gauche. Élus mais sans majorité stable, ils soutiennent alors la thèse d'une mutation du capitalisme, rendant caduque l'hypothèse marxiste d'une crise du capitalisme [3]. Une nouvelle Constitution a été adoptée en 1980. Le courant mendésiste, dans lequel Pierre Bérégovoy joue un rôle central, prend cependant de l'ampleur, ayant permis l'élection de la nouvelle majorité aux congrès de 1963, ce qui permet à Mendès-France de s'impliquer davantage dans le parti[4]. Le congrès est marqué par l'entrée dans les instances dirigeants de Michel Rocard, sous le pseudonyme de Georges Servet. Le PSU est formellement dissous le 7 avril 1990 par 91 % des militants[22]. "Le Parti du Congrès national est dissous" et tous ses biens sont confisqués, proclame une loi intitulée "démantèlement du régime du 30 juin 1989" adoptée par le nouveau Conseil souverain au pouvoir et par le gouvernement du Premier ministre Abdallah Hamdok. Les Congrès suivants sont si disputés qu'aucune direction stable, par exemple, ne sort du Congrès d'Alfortville (janvier 1963), qui a lieu quelques mois après les législatives, au cours desquelles deux députés PSU sont élus (l'ancien ministre de l'Agriculture François Tanguy-Prigent et Raoul Bleuse, qui quitte cependant le parti l'année suivante). Le congrès débouche sur un Comité politique national sans majorité. Parti politique français dissous en 1989 — Solutions pour Mots fléchés et mots croisés Il y a 1 les résultats correspondant à votre recherche ✍ Cliquez sur … Au VIIe Congrès de Lille du PSU (juin 1971), la motion rocardienne obtient 53 % des mandats[15] ; les trotskystes rassemblent eux 14 % des mandats[15]. En 1989, le KKE entra dans une large majorité de gauche, le Συνασπισμός της Αριστεράς και της Προόδου. Le Parti socialiste unifié dAllemagne (en allemand : Sozialistische Einheitspartei Deutschlands, SED) était un parti politique de la République démocratique allemande (RDA) d'obédience communiste. Il a existé entre 1897 et 1918 mais n'a pu organiser ses congrès qu'à partir de 1918. Si Michel Rocard est réélu secrétaire national, le bureau national est encore largement renouvelé. Quelques centaines de militants proviennent du groupe de Jean Poperen, Tribune du communisme. https://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_socialiste_unifié_(France) En juin 1967, la première mue du PSU porte Michel Rocard à la direction d'un parti d'où les anciens socialistes « réformistes » sont en voie de disparition. Edouard Depreux parvient à être élu secrétaire général, soutenu par Gilles Martinet (secrétaire général adjoint de 1960 à 1967, il quitte le PSU en 1972) et Michel Rocard, qui isolent les anciens de la IVe République, Alain Savary et Charles Hernu, tandis que les trotskystes et les ex-communistes rechignent à s'allier, ce qui leur aurait donné la majorité[3]. Parti né le 3 avril 1960, de la fusion du Parti socialiste autonome (PSA, dissidents SFIO), de l'Union de la gauche socialiste (UGS) et du groupe Tribune du communisme. En poste depuis un an, le Premier Ministre Tadeusz Mazowiecki démissionne, mais son parti, l'Union Démocratique, gagne les élections législatives l'année suivante. Le bureau politique avait poussé Pierre Mendès-France à se présenter après l'abandon de Gaston Defferre, mais Mendès-France avait refusé, mettant en avant son hostilité au suffrage universel direct dans le cadre de la présidentielle, ainsi que les mauvaises dispositions du PCF à son égard[4].