Les Arméniens ont tous abandonné leurs riches orangeries qui faisaient leur fortune et se sont transportés en Syrie. Les Français qui ont débarqué en 1918, resteront en butte à l'opposition locale jusqu'à leur départ. Celle-ci ne partira pas avant le 20. Le P. Poidebard connaît particulièrement M. Lépicier. Les femmes elles-mêmes escortaient les cavaliers. - Le radio paru hier soir annonce que les autorités françaises et turques ayant pris les mesures nécessaires pour garantir la sécurité des populations chrétiennes, tous les paysans, sans distinction de race ni de religion, vaquent en toute sécurité à leurs occupations. Il fut ensuite envoyé en renfort pour des opérations au Maroc contre Abd el Krim ; il y reçut du roi d'Espagne Alphonse XIII, l'ordre du Mérite espagnol. Un quincailler reçoit pour 70 livres turques de marchandises, où il entre du cuivre. Mais il assura aux délégués que, aussi longtemps qu’il resterait à Adana, il ne céderait à personne son autorité et que tout le monde serait libre de quitter le pays. Même réception à Tarsous où il a été invité par la municipalité. Même avant l’installation du gouvernement kémaliste, les Turcs veulent délivrer eux-mêmes les passeports ; ils ont ouvert un bureau en concurrence du bureau français qui continuera à fonctionner. Ou des gens venus pour se fixer ? Quant aux militaires, ils sont fiers de leur chef. Les premiers objectifs de ce contingent étaient d’occuper les ports et de démanteler l’administration ottomane. à Zeïtoun, citadelle légendaire déjà, 3 000 Arméniens paient de leur martyre la foi qu’ils avaient mise en la promesse des Alliés... à quoi bon poursuivre l’énumération ? Légion Arménienne (constituée le 27 octobre 1916)  . Mais que craignez-vous ? Deux jours auparavant, le P. Gransault et le supérieur des Capucins de Mersine passaient dans la rue. En conséquence, elle leur fait un devoir de quitter la Cilicie ; un torpilleur anglais stationne en rade de Mersine. D’autre part, la situation ne peut pas rester stationnaire. — Que veux tu faire de cela ? empruntant à leurs amis les chrétiens à fonds perdus ; et les chrétiens obligés de débourser, oh! évidemment c’est une manifestation française que le Haut-Commissariat veut organiser. En réalité, le but poursuivi dans toute l’Anatolie comme en Cilicie est d’exterminer ou d’obliger à émigrer les rares chrétiens pris dans le guêpier. Aujourd’hui est arrivé le 1er bataillon turc. Au Maroc, Lyautey craint un soulèvement ; en Syrie, Gouraud sent les Arabes lui échapper ; à Homs, ils ont arboré le croissant malgré les autorités françaises. Ainsi, les officiers se meublent, habillent leurs femmes, se payent de bons dîners sans débourser une piastre. Une mesure enfin vient d’être prise, trop tardive, hélas ! Il ne peut assumer toutes les erreurs et les barbaries des fuyards, particulièrement les massacres et les déportations massives d'Arméniens. Nous subissons une épidémie de vols et d’agressions tous les jours renouvelés. Raison ? 12 novembre. Il y a aussi une épidémie de profanations de cimetières. — Je serai bâtonné. N’en déplaise à Franklin-Bouillon, que ce ne soit pas la pensée de ses amis, je l’ignore, mais c’est certainement la mentalité des Turcs en Turquie. Certains articles sont très suggestifs, mais aucun ne se préoccupe du sort des chrétiens. La piastre égyptienne est divisée en millième, 10 millièmes valant 1 piastre ou 40 paras. Nous aurons beaucoup de choses à vous raconter. Cette fois, ça n’a pas eu du tout l’allure de l’alerte de mars-avril dernier : du premier coup, on a compris que c’était sérieux et le mouvement d’émigration s’est déclenché. - Hier soir, Beyrouth transmettait au général Dufieux une lettre du ministre des Affaires extérieures d’Angora adressée à Franklin-Bouillon, l’assurant que les écoles, les œuvres d’assistance françaises ne seraient pas inquiétées si elles ne faisaient pas de propagande contre la Turquie et si elles étaient respectueuses des lois du pays. Travail, discipline donnaient pleine satisfaction ; un personnel auxiliaire comme on en a rarement. Vous devez être étonné de recevoir une lettre de moi ainsi datée. Le colonel Sarrou fait un éloge pompeux du nouveau vali, du nouveau chef militaire, du nouveau chef de la gendarmerie. Depuis les Capitulations signées par François Premier et Soliman le Magnifique pour permettre le développement du commerce, jusqu'à ce crime politique de Louis XV corrompant les ministres turcs pour qu'ils déclarent la guerre à la Russie, vous les trouverez dans la rubrique "Contexte historique". D’ailleurs, ces individus aux idées larges, comment traitent-ils maintenant encore les chrétiens d’Anatolie ? Telles sont les garanties morales du gouvernement d’Angora. De fait, ils sont ici, et on veut les y maintenir ; mais le pourra-t-on ? Ils habitaient là depuis très longtemps, lorsque les Turcs sont arrivés, au 11 ème siècle. Que dit-on à Paris ? Le Moyen-Orient est alors découpé en cinq zones : -zone française, d'administration directe formée du Liban actuel et de la Cilicie (Turquie d'Asie) ; -zone arabe d'influence française comportant le nord de la Syrie actuelle et la province de Mossoul ; -zone britannique, d'administration directe formée du Koweït actuel et de la Mésopotamie ; -zone arabe d'influence britannique, comprenant le sud de la Syrie actuelle, la Jordanie et la future Palestine mandataire ; -zone brune, d'administration internationale comprenant Saint-Jean-d'Acre, Haïfa et Jérusalem. Mais qui se fie à toutes ces protestations ? Le colonel Sarrou s’est fait fort de la faire rendre. Mais attendons les événements. Aujourd’hui dimanche, l’église arménienne est fermée ; les derders sont partis. Personne qui se moque du monde 7 lettres. La Ligue des Nations demande à la France de les aider à implanter une colonie en Cilicie. Le Haut-commissariat de Beyrouth avait interdit aux émigrés nécessiteux l’entrée de la Syrie. Trouveront-elles du travail ? D’après [une] enquête faite cette semaine par le gouvernement français de Mersine, 15 000 réfugiés grouillent au bord de la mer, sans abri, dans un état de dénuement complet, en proie à la petite vérole, attendant vainement un bateau qui veuille les embarquer. 25 novembre. Les événements se déroulent monotones, dans l’ordre prévu. Je ne reviendrai certainement pas en Cilicie après ma permission. Hamid bey, grand dictateur, Mouhéddin pacha, commandant militaire, le colonel de gendarmerie et le chef de la police sont arrivés. Devant un officier turc, on faisait ressortir les avantages de la collaboration amicale de la France avec la Turquie. Les meilleures offres pour Colonies françaises - Cilicie - n° 25b** sont sur eBay Comparez les prix et les spécificités des produits neufs et d'occasion Pleins d'articles en livraison gratuite! Cela promet pour le jour où les commissions d’exécution de l’accord auront tourné les talons. Et tout cela pendant la lune de miel, sous les yeux de Franklin-Bouillon qui avale. Un certain nombre, sous ce couvert, ont cru pouvoir continuer à vaquer à leurs affaires « en toute sécurité », comme M. Briand l’a solennellement annoncé au monde entier, comme Franklin-Bouillon l’avait non moins solennellement clamé dans ses nombreux discours à Adana et ailleurs, comme une chose réglée, signée, qui ne pouvait même plus être discutée. Il a vu et il a entendu ; on ne lui a pas déguisé la vérité et il aura pu constater l’unanimité d’appréciation. Et leur exode recommence ! Nous voici sous la paternelle administration que nous connaissons. Son rédacteur n’était pas homme à brûler ses vaisseaux. Pour moi qui devais prendre mon congé fin novembre, je me vois obligé de le retarder jusqu’à ce que la situation soit stabilisée. Ce jour du 5 janvier sera désormais célébré comme l’est en France le 11 novembre. Quelques faits seront encore le meilleur commentaire : cette nuit même, deux Turcs sont venus frapper à la fenêtre de notre serrurier, un des ouvriers que nous sommes autorisés à garder quelques semaines et qui est maintenant isolé dans un quartier désert. Comme commentaire à ces touchantes promesses, il suffit de lire le Yéni Adana. 2 décembre. La question vitale pour nos œuvres est celle des capitulations. Seraient-ce même les assurances de Franklin-Bouillon ! Mais devant la tournure des événements, ils se rendent compte que cela a été mieux ainsi, plutôt que de faire s’affronter les deux éléments. Non, il ne s’en va pas content. Les soldats Français restent mobilisés jusqu'à la signature des traités. Ces détails, je vous le certifie, ils m’ont été donnés par les victimes, dont le directeur des magasins Orosdi-Back. Les femmes descendues dans la rue, les femmes dans les cortèges, c’est une mode extra nouvelle, qu’on ne voyait pas dans la vieille Turquie. Aujourd’hui, je n’ose compter sur l’autorité de nos consuls ; pas même sur celle de nos ambassadeurs. L’occupation française de la Cilicie, prévue depuis les Accords Sykes-Picot, prit fin dans des circonstances pour le moins dramatiques alors que la France signait les fameux accords d’Angora avec le gouvernement kémaliste. Tout cela nous promet une ère de liberté dont nous n’aurons qu’à nous féliciter. cilice n.m. [ lat. Les Français voulaient aussi s’installer en Syrie. Du Caucase à la Cilicie, c'est le pays des Arméniens. M. Laporte a fait tapage. Typologie des risques en santé et sécurité au travail. D’après Hamid bey, dans la partie de l’Anatolie que les Grecs n’occupent pas, il en resterait environ trois mille. L’ordonnance emporte la marchandise, mais oublie d’apporter la contre-valeur. Le traité d’Ankara (également appelé « accord Franklin-Bouillon ») ne put pas résoudre tous les problèmes franco-turcs, notamment en rapport avec le sandjak d'Alexandrette. cilicie : 10c semeuse n°82a paire avec variete chiffre 2 maigre neuve ** quelques adherences de couleu, Page 5 1920: Timbre du Levant (Mouchon) surchargé T.E.O. Nous nous sommes adressés directement à Hamid bey pour faire venir de Césarée à Adana une famille à laquelle nous nous intéressons. à 760 m. d'altitude, où sont passés tous les conquérants d'Asie Mineure, ate in rocky headlands with small sheltered harbors, a feature which, in classical times, made the coast a string of havens for pirates and, in the Middle Ages, outposts for Genoese and Venetian traders. La paroisse ? De plus, pour les chrétiens, il y a la terrible question du service militaire qui,pour eux, équivaut à l’assassinat, qu’ils soient sur les champs de bataille ou qu’ils soient employés à des corvées sur les routes, dans les chantiers ou ailleurs. On dit que les Arméniens auraient lancé un télégramme pour demander la protection de l’Angleterre, puisque la France les lâche. Mais ils n’arrivent pas à inspirer confiance, et pour cause. « Pourvu, disait-il, qu’avant six mois nous ne soyons obligés de recommencer la guerre ». Dans toutes les rues, c’est un étalage des objets les plus hétéroclites : ustensiles de cuisine, tonneaux, charrues, vieilles nippes, vieux bahuts, berceaux d’enfant, lits de fer, tables bancales, machines à coudre, vieilles planches, vieux divans, même des pantalons... enfin tout ce que ces pauvres gens ne veulent pas emporter et dont ils voudraient tirer quelques piastres. Cette digression m’a entraîné loin de l’imprimerie de Ferda. La présence ici de ce politicien a peut-être été agréable aux Turcs, mais les Français, les officiers surtout, le jugent sévèrement. Contrairement aux termes de la proclamation nouvellement lancée et signée Mouheddin, Hamid, Franklin-Bouillon, donnant aux employés l’assurance qu’ils sont maintenus dans leurs fonctions, tous, sans exception, jusqu’aux concierges, jusqu’aux plantons, ont été simplement destitués. Elle ne semble pas avoir un grand succès auprès de la colonie française. C’est à fendre l’âme. Un kilo d’eau de Cologne se vendait à une livre turque. Allié de l'Allemagne, il est du côté des perdants. Il faut attendre que l’armée soit partie pour savoir ceux qui la suivront. Face à ces grands principes, les gouvernements vainqueurs ont des soucis prioritaires: reconstruire les régions dévastées, remettre en route leurs économies durablement affaiblies par l'absence des jeunes hommes tués ou blessés, récompenser l'effort de guerre de leur peuple. Charles Mazen occupa aussi des fonctions de commandement de la région du Chouf. Les garanties qu’il leur apporte devraient les rassurer. « C’était aujourd’hui vendredi, tu n’as pas fermé ton magasin ». Aussi le pape s’est empressé de le décorer. Elle s’en va en vaincue. Hier soir, en venant à Adana, il a fait arrêter son train à Yénidjé, où Hamid bey, délégué de Moustapha Kémal pour présider à l’exécution de l’accord, était en conférence avec les notabilités chrétiennes. - Un télégramme de M. Bonnevay rouvre la Syrie aux réfugiés. À l’extrême-est de la zone d’occupation dans le sud, la ville de Mardin fut également occupée pendant 1 jour (le 21 novembre 1919). Les Jeunes Turcs qui avaient pris le pouvoir lors de la Révolution de 1908, sont en fuite. Le consul a fait mettre autour des tombes du fil de fer barbelé soutenus par des pieux en fer. Et, chose remarquable, les chrétiens seuls sont volés. Et ils nous plaignent ; ils voient l’avenir très sombre. Ici, nous avons le pressentiment qu’ils auront besoin de tous leurs efforts et des millions et des hommes qu’ils refusent à la Cilicie et qu’ils auraient pu s’épargner. Ce n’est pas glorieux et ce n’est pas rassurant pour nous. — Mon ordonnance va vous l’apporter ». On avait incriminé la mauvaise volonté des Turcs : on les avait accusés de l’avoir cachée ; ils défendent et expliquent ce retard de plus de quinze jours par le manque de moyens de transport. Depuis, personne ne veut les prendre ; ils sont dans une misère effroyable ; et ayant tout vendu, ils ne peuvent pas revenir à Adana. En d’autres circonstances, elle aurait été superbe. Ils tentent démarches sur démarches pour l’enrayer. Ces débris, car la masse est anéantie, impuissante à les défendre, impuissante à les reconduire dans leurs foyers détruits, à les remettre en possession de leurs biens volés, elle les abandonne, elle s’en va. Elle s’en va laissant des garanties illusoires aux chrétiens réfugiés dans les dernières garnisons qu’elle occupait sur la voie ferrée. La Banque ottomane remplace son personnel indigène, qui l’abandonne, par des Européens. Il ne s’explique cette frayeur universelle, alors que lui, Sarrou, leur apporte le rameau d’olivier et qu’il leur affirme que les Kémalistes sont les hommes les plus honnêtes, les plus loyaux, les plus doux ; qu’ils arrivent animés des sentiments les plus pacifiques ; qu’ils veulent vivre en frères avec les chrétiens et leur faire partager leur indépendance. Et Hamid bey, parlant de ces derniers, dit : « Ils ont raison de partir ; à leur place, j’en ferais autant ». Franklin-Bouillon vous a laissé Hamid bey. On se plaint ; la police fait des enquêtes, et c’est tout. Quelles sont donc « ces tentatives odieuses pour jeter la panique, pour provoquer l’effusion du sang ? Ils étaient fort bien armés ; on est parvenu à éventer leur plan et à les amener à livrer leurs armes. 4-7. La police a pris possession de l’imprimerie du journal Adana Postassi et a mis dehors le personnel et la rédaction. La campagne de Cilicie est une série de conflits entre les Forces coloniales françaises, alliées à la Légion arménienne (la Légion d’Orient), et les forces turques de la Grande assemblée nationale de Turquie, au lendemain de la Première Guerre mondiale, de décembre 1918 à octobre 1921. Certains officiers semblaient manifester, à leurs trépignements, qu’ils n’étaient pas de son avis. Il s’est, partout, trouvé des politiciens en France qui ont fait grief aux Arméniens de n’avoir pas confiance en la parole des nationalistes turcs. Donc, pure invention. Enfin, un télégramme arrive de Paris, donnant l’ordre de les transporter gratuitement en Syrie et de laisser des troupes à Mersine jusqu’à ce que le dernier Arménien ait quitté le pays. Chemise ou large ceinture de crin portée sur la peau par pénitence haire CILICE (si-li-s. Il entérinait la renonciation par la France à la « zone d'influence » de Cilicie qu'elle avait obtenue par le Traité de Sèvres (10 août 1920), conformément aux Accords Sykes-Picot de 1916 Paris est prêt à sacrifier la Cilicie afin de consolider sa présence en Syrie et au Liban. Voyant qu’il tenait bon, ils en sont venus aux voies de fait. Son refrain est assez monotone, mais il le chante à ses lecteurs sans se lasser : nous avons fait ce qu’aucune nation n’a fait. Rupture de stock Aperçu rapide. Dites à tous ceux qui sont à Paris, que vous fréquentez, qu’il faut aimer profondément cette pauvre nation, si malheureuse, si maltraitée et qui peut, elle aussi, être un élément de civilisation pour l’humanité. 6 décembre. Il est prêt à tout accepter. 18 novembre. Dans le train, il disait à un soldat français qui me l’a rapporté : « Ah ! La ville de Bursa, ancienne capitale ottomane et important centre urbain d'Anatolie du Nord-Ouest, fut également occupée par les forces françaises pendant une courte période, avant que les Grecs en prennent possession lors de leur grande offensive de l’été 1920. Il n’y a plus à se fier à la porte. Ces mêmes officiers, les civils revenus d’Anatolie, ruinés, disent-ils, par les Arméniens !!! Il n’a pu prendre logement chez le chef de gare, un des rares chrétiens que la nécessité les oblige à garder, qu’avec une autorisation signée du ministre de l’Intérieur. Mais une chose est certaine : si les capitulations ne nous protègent plus, nous n’avons rien à faire ici. La Grande Guerre est finie. Je verrai en France auquel je m’arrêterai. C’est la débâcle de Marache, et le reste ; c’est encore une fois la ruine et l’exil. Si le but est de relever le prestige de la France, de ramener la confiance, on se fait illusion à Beyrouth. Ah les pauvres gens! Il existe évidemment une littérature très importante sur le mandat français sur la Cilicie, la Légion d’Orient et le virage pris par la diplomatie française à l’égard des nationalistes turcs, émanant essentiellement des milieux militaires français. La France avait reçu mandat d’assurer la sécurité des minorités, dans leurs biens et dans leurs personnes. Les sœurs et leurs quelques pensionnaires en ont encore reçues dans leur dernière promenade. Les commerçants européens perdent les privilèges que les capitulations leur reconnaissaient ; ils subiront l’arbitraire des tyranneaux de tout rang.